sorrowful ● in a fake world | c o m p l e t e . . .
Auteur
Message
Ash
Messages : 5
Date d'inscription : 05/10/2014
ID Minimum: control minimum Occupation: lycéen et dormeur pro Relations:
Sujet: sorrowful ● in a fake world | c o m p l e t e . . . Dim 5 Oct - 22:06
nom ▲ non obligatoire. prénom ▲ Ash âge ▲ 17 ans trois-quart date & lieu de naissance ▲ 8 juin à Yokohama sexe/genre ▲ ♂ orientation sexuelle ▲ indéterminé statut ▲ célibataire occupation ▲ dormir groupe ▲ minimum holder cv ▲ yoshitsugu matsuoka
control minimum ▲ il peut contrôler les mouvements des gens grâce à de longs fils transparents, pour cela, il doit se frotter une mèche de cheveux.
INTÉRIEUR
Mon pauvre Ash, tu n’étais pas vraiment à envié. Tu avais été le brouillon d’une belle histoire mal fini, d’un petit bonheur qui s’était égaré pour finir par être dévoré par la solitude et les mensonges, d’une lumière qui avait terminé sa route dans les ténèbres, d’un sourire qui avait fini par disparaître. Que de comparaisons pour comprendre que toutes tes illusions s’étaient envolées au fil du temps, laissant place à un monde que tu trouvais froid et injuste.
Ton monde à toi se résumait à pas grand-chose : ton portable, ton iPod et une paire d’écouteurs. C’était sûrement un de tes défauts aux yeux des autres, tu ne te limitais qu’à ça. Une simple musique de fond, une seule et unique, toute la journée pour toutes les heures. Dans ces moment-là, tu as tendance à rêvasser, à être complètement ailleurs, comme dans un autre monde. Un monde où la foule ne peut te voir, un monde où les bruits incessants ne sont plus, un monde que toi seul peut voir. Tu l’aimais, ce monde. Malheureusement, il n’existait que dans ta tête, mais la réalité te rattrapait toujours trop vite, beaucoup trop vite. Et tu détestais, ah oui, tu détestais être brusquement ramené au-devant de tes responsabilités, de ce monde qui te refusait toujours tout, qui te dégoûtait au point qu’il t’arrivait de penser que ce serait mieux s’il disparaissait. C’était horrible, mais tu ne le regrettais pas. Après tout, dans ta manière d’être et de faire, tu restais froid et rigide. Dès que tu ouvrais la bouche, c’était une voix grave, sans vraiment d’émotions qui en sortait. Quoique, les seules notes que l’on entendait se raccordait à l’agacement, l’ennui et surtout la mélancolie. Que tu le voulais ou non, ta voix émettait sans cesse un petit tremblement, accompagné d’une résonance assez triste et faible. Pourtant, tu ne voulais pas paraître méchant ou rude, c’était simplement ta façon de t’exprimer. Le sourire ne venait pas sur tes lèvres, alors il ne te restant que nostalgie et solitude.
T’avais souvent été seul, si bien que tu te mettais à observer et envier les gens. C’était mal, parce que tu avais l’impression que ta solitude était de leur faute alors que tu ne faisais que les observer, seulement, tu te mettais involontairement à les jalouser, dans un coin de ta tête. Oh, il t’arrivait même d’en pleurer, la nuit, quand tu étais sûr que personne ne te voyait. C’est fou comme tu étais faible, tout compte fait. Dès que tu franchissais le pas de la porte, tu te sentais obligé de t’armer d’une carapace solide et froide, et ce n’était pas bon pour toi, ni pour ta santé. Cette pression continue que tu emmagasinais chaque jour et qui retombait, tu en avais des chutes de tension et des tremblements, car ton corps ne le supportait pas bien. Sauf que tu n’arrivais pas à faire autrement. La seule chose qui te donnait la force, qui te rassurait et te donnait une certaine confiance, c’était ton minimum. Tu savais qu’avec lui, tu avais un moyen de te protéger, de quelconque manière que ce soit. Ce n’était qu’un pouvoir, certes, mais dans ta tête, il te permettait de tenir le coup, de te sentir à l’abri face à tous ces gens dont le regard scrutait la moindre différence qu’ils se faisaient de la banalité.
Et vu que tu aimais rêvasser, tu aimais te tenir loin de la foule. Les bords de rivière, les toits, les tours et les prairies étaient tes endroits favoris. Tu pouvais y réfléchir en paix, sans que quelqu’un ne vienne te bousculer ou te demander quelque chose que tu jugeais inutile. C’était horrible comme tu te faisais distant, toi-même tu te le reprochais, mais tu ne pouvais t’empêcher de t’éclipser sans rien dire. C’était une de tes manies assez idiotes, vu que les gens mettaient des heures et des heures avant de te retrouver. Tiens en parlant du temps, c’était une notion que tu considérais à peine. Tu restais éveillé jusqu’à en tomber de fatigue. C’était stupide vu que tu avais développé des tendances narcoleptiques à cause de ton rythme de sommeil complètement dérèglé, mais tu étais le seul que ça ne dérangeait pas, piquant du nez dans le métro ou bien dans un fast-food.
Ash, ton monde n’est fait que d’illusions, celui des autres te dégoûtent mais tu ne peux le changer, alors tu te mets à les contrôler, mais tout ça finira sûrement par te perdre, ainsi, les larmes et la solitude te rongeront, sans que tu ne t’en rendes compte. La partie est déjà bien entamé, maintenant, à toi de résister.
EXTÉRIEUR
1m54 ▲ 42 kg ▲ bruns, tirant sur le châtain foncé ▲ noirs, ayant chacun un défaut de blanc sur les iris ▲ pâle, un peu trop ▲ la lavande ▲ il met des lentilles pour faire paraître des spirales blanches dans ses yeux et à toujours des écouteurs visser aux oreilles
DERRIÈRE
Oh, Ash, ton histoire n’était franchement pas compliquée. T’étais un gosse comme les autres, sauf que toi, t’avais jamais connu ta mère. Bien loin l’idée qu’elle avait perdu la vie à ta naissance, non, elle était partie. C’est ça, partie. Tout simplement. Normalement, c’était souvent la mère qui prenait l’enfant sous son aile, instinct maternel, apparemment. Mais ton père ne l’avait pas accepté, t’étais né d’une relation non protégée après tout, les gens autour de vous comprenaient qu’il ne t’avait pas laissé avec elle. Mais toi, t’étais trop jeune pour savoir tout ça. Tu pensais juste qu’elle était partie parce qu’elle n’avait pas eu le choix, comme ton papa te le disait.
Mais malgré ça, tu vivais normalement. Tu allais à l’école, heureux, malgré le peu d’amis que tu avais. C’était une petite vie tranquille, ton père venait te chercher, vous rentriez ensemble, tu lui montrais tes coloriages, tes premières lettres, il t’élevait seul mais n’avait pas l’air d’en pâtir. Et parfois, tu lui demandais s’il allait avoir quelqu’un d’autre que ta maman. Sauf que, à ton soulagement, il répondait qu’il n’avait besoin de personne tant que tu étais là. Alors tu répondais toujours présent dès qu’il avait besoin de toi. Ah, ton sourire était tellement présent en ce temps-là, il ne quittait que très peu tes lèvres. Pourquoi ? Parce que, quand tu souriais, ton papa aussi, souriait à son tour. Et ça te comblait, vraiment. Personne n’aimait voir un de ses parents triste, alors tu souriais toujours, pour essayer de lui rendre sa joie quand il venait te chercher. On pouvait presque appeler ça le bon temps …
Malheureusement, le temps passait vite, et tu rentrais dans ta première année de collège quand ton père commençait à te dire que, pour réussir, il fallait se débrouiller seul. Réellement seul. Si bien que parfois, quand tu rentrais, il te laissait un mot comme quoi tu devais apprendre à cuisiner, seul. Au début, tu pensais qu’il plaisantait. Comment un père aimant comme lui pouvait bien s’éloigner de son fils au fur et à mesure, et de cette manière ? C’est après quelques jours avec ce même mot que tu compris qu’il était sérieux. Vraiment sérieux. De temps à autre, tu l’entendais rentrer vers quatre heures du matin, sans chercher à comprendre ce qu’il faisait à une heure aussi tardive, et il repartait deux heures plus tard, sûrement pour le travail. Sûrement. Tu espérais, surtout. A partir de là, tu faisais tout, tout seul. Du petit-déjeuner jusqu’à la vaisselle, en passant par le rangement de la maison et celui de ta chambre, tu en avais des choses à faire. Tu n’étais pas devenu le stéréotype de Cendrillon, mais tu commençais à penser que ce n’était pas forcément normal, quand tu disais tout ça à tes amis. Eux, leurs parents les aidaient, étaient là pour manger avec eux le soir. Toi, il ne fallait surtout pas que d’autres gens apprennent ta situation ou c’était l’assistante sociale en vue. Comme si tu allais l’accepter. Même s’il n’était pas souvent là, ça restait ton père, tout de même. Alors tu vivais avec ça sur le cœur, accumulant stress, panique et tristesse. Ça devenait pesant de ne pas le voir, si bien que tu craquais et te mettais souvent à pleurer, en plein milieu des cours. C’était pitoyable de te voir dans cet état, mais t’arrivais pas à te contenir plus que ça.
Plus tu grandissais, plus tu songeais à partir, surtout que tu commençais à sentir quelque chose d’étrange quand tu frottais une mèche de cheveux contre tes doigts, mais ce n’était pas ta première préoccupation. Jusqu’à ce que tu te fasses repérer par une Académie, qui avait déniché une trace de minimum chez toi. Au début, tu ne les croyais pas. Réellement pas. T’avais 13 ans, comment toi, le loser de service pouvais-tu avoir un minimum ? Finalement, ce fut ton père qui accepta de t’envoyer là-bas, en prétextant que tu devais faire ta vie seul. Seul ! Mais ça faisait presque un an qu’il t’avait laissé tout faire tout seul !
Ha, comme si ça allait être aussi simple. Tu en avais pleuré, hurlé, crié, tu t’étais accroché à ton père pour ne pas y aller, mais il disait te faire confiance, qu’il savait que tout allait bien se passer. Tu aurais tout fait, tout pour pouvoir prendre possession de lui, un court instant, pour qu'il refuse. Qu'ils les chassent. Oh oui, tu avais l'impression d'avoir un ego démesuré en pensant ceci, mais tu voulais réellement qu'il refuse. Quitte a le faire a sa place, indirectement. Mais il te répétait que tout allait bien se passer. Alors toi, tu l’avais écouté, et rejoint l’Académie. Tu y passas 4 bonnes années, à améliorer de jour en jour le contrôle de ton minimum. C’est là-bas que tu avais l’impression que, pendant tout ce temps, toutes ces années, tu t’étais sous-estimé. Loin de là l’idée de te mettre en avant, mais ça t’avais permis de reprendre confiance, rien qu’un peu. Même si les quatre années passèrent vite, tu en sortais un peu plus confiant. Mais tu avais bien changé. Les nuits à Facultas te paraissaient tellement longues que tu en avais gardé des cernes particulièrement marqué à ta sortie. Après cela fut l’une de tes premières erreurs. Essayer de retourner chez toi. T’aurais pas dû, vraiment pas. Ton père était parti en te laissant plusieurs enveloppes à ton nom avec de l’argent et les clés de la maison, mais il était parti. Où ? Aucune idée. Parti. Disparu. Comme ta mère. Peut-être que tu le dégoûtais, finalement. Tu venais d’une relation d’un soir, il devait sûrement être répugné. C’est sur cette idée que tu repris ta vie, idée qui te rongeait petit à petit, puis vint la solitude. C’était idiot, tu n’avais même pas cherché d’emploi pour tromper ton ennui, alors tu te baladais, vivant sur l’argent que ton père t’avait ‘gentiment’ laissé.
Après tout, t’avais pas vraiment de but, tu n’étais qu’un marionnettiste dans l’ombre, qui n’allait plus jamais en sortir.
PSEUDO ET/OU PRÉNOM ▲ on m'appelle Soda, juste parce que j'en bois beaucoup, merci l'originalité :'D (sinon Aoki c'bien aussi) ÂGE ▲ 16 ans o/ GENRE ▲ hahaha- COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM? ▲ ... u serious COMMENT TU LE TROUVES? ▲ HAMATORA (voilà, c'est tout) DOUBLE COMPTE? ▲ nope ! AVATAR/FACECLAIM ▲ Teufel Diabolos | Senyuu. AUTRE? ▲ coca.
ID Minimum: Destroy Minimum Occupation: Sucre Relations:
Sujet: Re: sorrowful ● in a fake world | c o m p l e t e . . . Mar 7 Oct - 9:01
RUIIIIIIIII♥ QwQ Ohayo! ~ Tu as déjà fini ta fiche, tu m'épates, tu es le premier à avoir fini (sans me compter moi parce que ... je suis pas humain =w=// *secasse*) Bon écoute, j'vais lire ça et te dire ce que j'en pense, comme je te l'ai dis hier ! Déjà, 1m54... waouh, on est tous petit sur le forum. 8D Et pâle... ça m'étonne pas, on est un forum de pâle. On devrait penser à dormir ou se soigner ! =w=// Bon j'arrête de dire des conneries... Waouh... ton perso va pas être facile à intégrer. Tu vas en chier pour qu'il se fasse des amis... ou alors il n'en n'aura pas. (remarque le mien, il n'en n'a que un.) Sinon il a l'air super cool et intéressant en tout cas! Puis le pauvre quoi ! ;w; Enfin bref ! La psychologie est badass et je dis hourra ! \o/ (puis c'est tellement cool que je peux pas lancer des trucs constructifs ahahah) *part lire l'histoire* Je lis le début et j'me dis. "bon, il est comme Never, il a pas connu sa maman" et ça m'a fait rire, c'était inutile à dire je sais. Il est trop cute enfant, il sourit pour son papa quoi. *va hug le petit ;w;* L'histoire aussi est super cool. Puis le pauvre quoi, il souffre. *patpat le gentil perso'* Enfin tout ça pour dire, qu'avec joie, bonheur, amour, amitié et avant tout cookie. Tu es le premier validé de ce forum ! owo// Mes félicitations Rui Ash! Vu que t'es là pendant l'ouverture officiel est qu'on se connait, c'est pas très différent de kagepro... tu fais ta RL puis tu RP's ! Si tu veux un RP avec moi, on en reparle en PV. ~ Bonne chance pour la suite, au plaisir de te voir RP sur le forum et de RP avec toi dans le futur ! Bienvenue Ô premier validé, sur Hamatora RPG.
sorrowful ● in a fake world | c o m p l e t e . . .