ID Minimum: resonance minimum Occupation: étudiant Relations:
Sujet: soundless voice. Dim 5 Oct - 20:16
prénom ▲ silence âge ▲ 19 ans date & lieu de naissance ▲ 17/12 ▬ nagoya sexe/genre ▲ masculin orientation sexuelle ▲ demiromantique demisexuel statut ▲ célibataire occupation ▲ étudiant en musicologie groupe ▲ minimum holder va ▲ mizuhashi kenji
resonance minimum ▲ permet d'amplifier à volonté pour son entourage les sons perçus par l'utilisateur après avoir retiré ses écouteurs
INTÉRIEUR
Silence, tu n'es rien. Tu es cette personne qui, au mieux, est ignorée, au pire, est mal vue. Ce n'est pas de ta faute, vraiment, tu n'as jamais voulu ça, tu n'as jamais cherché à être traité comme ça, mais le résultat est là. Tu n'es rien, tu es poussière, pas grand-chose de signifiant, juste quelques miettes d'émotions éparpillées, floutées par ta confusion constante. Silence, tu es cette personne qu'on qualifie d'asociale, toujours à tort. Ce n'est pas que tu n'aimes pas les autres, tu souhaiterais rester avec eux mais tu ne peux pas. Les gens regardent toujours tes écouteurs avec de gros yeux et toi, tu baisses les tiens, timidement, honteusement. Ce n'est pas de ta faute si tu souffres d'hyperacousie, ce n'est pas de ta faute si ta tolérance au bruit est aussi faible, trop de temps passé au milieu de tes instruments sans doute. Toujours est-il que tu as tellement de mal avec ce surplus de sons produit par les conversations à plusieurs, tellement de mal avec certaines voix, tellement de mal avec la foule. Alors tu gardes tes écouteurs, tu les laisses t'isoler du reste, tu les écoutes diffuser soit une musique douce, soit juste du bruit blanc pour ton traitement et tu as tendance à t'éloigner, toujours te tenir à distance des autres, à l'écart de ce bruit qui te fait si peur. Silence, tu es cette personne qu'on aime aussi étiqueter comme arrogante, ou du moins, trop dédaigneuse des autres pour leur parler. Haha. Non. C'est juste une conséquence directe de ton isolation : un peu beaucoup introverti, une tonne de timidité, des masses d'awkwardisme. Limite si tu n'as pas carrément oublié comment parler correctement, quand on s'adresse à toi, tu te sens presque agressé, tu deviens quasiment paranoïaque, tu entends des reproches à chaque mot et tu te hérisses, alors que les autres n'ont encore rien fait. Dans ta petite tête, tu es persuadé qu'ils pensent tous comme toi : que tu es nul, pathétique, idiot, lâche, qu'ils ne voient que cette chose paniquée dès qu'on entre en contact avec elle, qui sursaute quand on l'appelle et qui s'enfuit quand la situation devient trop compliquée. Alors oui, tu complexes, oui, tu angoisses, mais tu ne le fais pas exprès, c'est compulsif, à peine la conversation terminée que tu te recroquevilles sur toi-même en te demandant si tu n'as pas dit une connerie, si tu ne viens pas de ruiner une hypothétique amitié. Et tu as peur, tu as tellement peur que ton malaise s'amplifie quand tu revois cette personne. Silence, tu es le genre dont l'attitude est souvent perçue comme obsessionnelle-compulsive. Encore une fois, c'est faux. Tu es certes nerveux et assez perfectionniste vis-à-vis de toi-même, tu as beau être bourré de tics comme enrouler tes doigts dans le câble de tes écouteurs, pianoter sur les rebords des tables, plier le bord des feuilles ou les déchirer, arracher la peau du bout de tes doigts (tant et si bien que t'as presque plus de sensations dans ceux de ta main droite, la victime la plus fréquente) et j'en passe. On pourra aussi noter que tu as souvent l'air ennuyé, irrité par quelque chose, alors que tu as juste mal dormi hier soir, comme chaque nuit, allez dormir lorsque vous entendez chaque son dans votre chambre, du parquet qui grince quand vous vous retournez dans votre lit, le froissement des draps et votre propre respiration, jusqu'à travers le mur les voisins qui testent la résistance de leur literie à des démonstrations d'affection répétées. Super cool. Silence, tu es souvent vu comme le stéréotype de l'intello. Pour une fois, ce n'est peut-être pas complètement infondé. Après tout, tu traînes toujours avec toi cette odeur de vieux livres ou de papier glacé, ça dépend des jours. Tu passes tellement de temps enfermé chez toi, faut bien que tu fasses passer le temps, le plus tranquillement et silencieusement possible. Alors tu lis, tu dévores livre sur livre, n'importe quel genre, n'importe quel type, tu pourrais lire un dictionnaire sans sourciller comme tu pourrais t'enfiler l'intégrale de Lovecraft. Oui, parce que tu sais lire presque couramment plusieurs langues étrangères, là où mène l'ennui (par contre, tu sais pas les parler, t'es quand même un loser qui sait pas enfiler deux syllabes correctement). Même quand tu es dehors, il n'est pas rare de te trouver le nez dans un bouquin, car comme tu aimes le penser, t'es beaucoup plus doué avec les choses inanimées. Contrairement aux humains qui te rendent confus et t'embrouillent la tête avec leurs pensées imprévisibles, tu préfères la compagnie des machines, des livres, de ces choses qui ont un fonctionnement logique que tu peux saisir dans son entièreté. Mais Silence, tu es aussi cette personne toujours perdue dans ses pensées, c'est le seul point qui soit 100% vrai dans ce qu'ils disent de toi. On dirait que tes yeux bleus sont toujours posés sur un point loin, loin, loin d'ici et ton esprit les suit, tu es ailleurs et tu laisses aller tes pensées. Tu pourrais faire quelque chose et t'abandonner à tes réflexions en continuant mécaniquement ta tâche actuelle, il n'est pas rare que tu sortes soudain de ta rêverie éveillée en te demandant quand et comment tu t'es retrouvé dans la cuisine alors que tu lisais dans ta chambre il y a encore quelques instants. Tu ne fais même pas exprès en plus, t'as juste les pensées un peu trop vagabondes, voilà tout, une propension à t'échapper de la réalité et à enclencher l'autopilote à des moments pas toujours appropriés, à te noyer dans ce lot d'émotions toujours trop diffuses, trop faibles pour que tu puisses les identifier. Ça aussi, c'est un de tes problèmes, tu ne comprends personne, mais surtout, tu ne te comprends pas toi-même, tes propres sentiments, ton propre esprit te sont étrangers. Tout est diffus, pâle, comme une goutte d'aquarelle tombée dans un pot d'eau claire, une vague tache de couleur diluée par le reste qui finit par disparaître.
Alors Silence ? Ça fait quoi d'être rien ?
EXTÉRIEUR
1M66 ▲ 50 KG ▲ BLEU VIOLACÉ ▲ BLEU VIF ▲ UN PEU TROP PÂLE ▲ PAPIER ▲ FAIT UNE FIXETTE SUR LES ÉCHARPES ▲ PORTE CONSTAMMENT DES ÉCOUTEURS ▲ S'HABILLE TOUJOURS CHAUDEMENT
DERRIÈRE
i. Silence, oh, Silence, tu aurais pu être tant de choses, tu aurais pu être tellement plus, tu aurais pu être tellement mieux, tu aurais pu, tu aurais pu. Il y avait un temps où tu avais des rêves, il y avait un temps où tu avais des envies, il y avait un temps où tu ressentais. Il y avait un temps où tu existais.
ii. Ils avaient placé pas mal d'attentes sur toi, pas mal d'espoirs, ils avaient déjà tracé tout le chemin pour toi et tu n'avais plus qu'à poser tes pieds d'enfant dessus pour le parcourir, doucement, tranquillement, sereinement. Tu avais déjà l'ouïe fine étant petit, tu avais grandi dans une famille de musiciens et loin de te dégoûter de cet art, tu y avais pris goût, c'était devenu une partie de toi, tu te sentais mal quand tout se taisait, quand le silence se faisait (silence, ce silence me fait peur, il n'est pas naturel, faites-le fuir, faites-le taire). Mieux encore : tu avais l'oreille absolue. Chaque son tu pouvais l'identifier, chaque note tu pouvais l'accorder et joie, joie, ça les rendait tellement heureux, d'avoir pareille progéniture. Ils ne doutaient pas que tu pouvais aller loin avec ça, même si tu échouais dans un autre domaine, celui de la musique te tendrait toujours le bras, et eux, ils riaient, ils riaient. Alors tu souriais aussi, sans savoir pourquoi, doucement, tout doucement, tu savais juste qu'à ce moment-là, tu avais tout ce que tu pourrais jamais souhaiter. Un foyer (merci d'être resté, merci de me garder, merci de m'aimer, merci, merci, merci). Et si entendre plus, entendre mieux pouvait leur faire plaisir, alors pourquoi pas ... ?
iii. Silence, oh, Silence, si tu avais su que ça se terminerait comme ça, si tu avais su qu'après un haut, il y avait un bas, si tu avais su que ça se finirait comme ça, tu n'aurais pas ri, tu n'aurais pas souri, tu aurais tout arrêté, tout, tout, tout. Mais ce n'était pas le cas, n'est-ce-pas ... ?
iv. Ça s'aggravait, de jour en jour. T'avais l'ouïe de plus en plus sensible, tu entendais des sons qu'ils ignoraient, tu entendais parfois même des sons qui n'existaient pas (qu'est-ce qu'il m'arrive, qu'est-ce qu'il m'arrive, j'ai mal, j'ai mal, j'ai mal, aidez-moi, j'ai mal, arrêtez, arrêtez tout, pardon, j'ai mal, je suis désolé, j'ai mal, j'ai mal). Ils ont d'abord pensé que c'était passager, que tu inventais même, parce qu'ils n'entendaient rien eux. Pauvre, pauvre Silence, il a fallu que tu fasses une crise d'angoisse spectaculaire avant qu'ils ne comprennent que ça n'allait vraiment pas (mais c'est ma faute, c'est ma faute, je ne suis pas assez important, pas assez, pardon). Hyperacousie, dysfonctionnement de l'audition. Ta mère a été furieuse quand elle l'a appris. Elle t'a regardé et puis elle a dit "Pourquoi ne l'as-tu pas dit avant ?!". Il était vrai que ça risquait d'endommager ton ouïe si ça persistait, Beethoven lui-même en souffrait et il avait fini quasiment sourd (et mort, mort, il s'est tué, j'ai peur, je ne veux pas, je ne veux pas finir comme ça).
v. Silence, oh, Silence, tu aurais pu faire tant de choses, tu aurais pu accomplir tant de choses, si tu n'avais pas fait l'erreur d'espérer, si tu n'avais pas fait l'erreur d'avoir souhaité.
vi. Ils ont voulu bien faire. D'ailleurs, il paraît que ce sont souvent ceux qui ont de bonnes intentions qui font le plus de mal. Mais tu ne pouvais pas leur en vouloir (ils veulent mon bien, ils ont raison, c'est de ma faute, je suis désolé, pardon), c'était pour toi qu'ils le faisaient, c'était pour toi qu'ils t'enfermaient, te confinaient, t'étouffaient, t'emprisonnaient (qu'ils me préservaient, qu'ils me couvaient, qu'ils me maternaient, qu'ils me protégeaient). Qui avait besoin de sortir et s'exposer au capharnaüm extérieur de toute façon ? Tu avais tout ce que tu désirais à l'intérieur, tu étais leur précieux oiseau dans une cage dorée, pourquoi donc aurais-tu voulu t'en envoler ? (je ne veux pas, je ne peux pas)
vii. Silence, oh, Silence, peut-être aurais-tu dû couper les ponts plus tôt, peut-être aurais-tu dû t'affranchir de tes liens plus tôt, peut-être, peut-être.
viii. Finalement, c'est l'Académie Facultas elle-même qui a ouvert la porte. Tu avais un potentiel disaient-ils (non je ne veux pas, ça me fait peur, je ne veux pas que ça recommence, j'ai peur), il y avait une chance que tu éveilles un Minimum. Déjà-vu, tu avais une impression de déjà-vu très désagréable mais comment refuser, comment pouvais-tu dire quoi que ce soit alors qu'ils te faisaient ces yeux, les mêmes yeux qu'avant, alors que tu avais la possibilité de te racheter, de te rattraper ? Tu ne pouvais pas, tu ne voulais pas, tu étais trop lâche (je le suis toujours), tu les as suivis, tu les as laissés te guider. Tu as toujours été comme ça de toute façon, tu les as toujours laissés décider, parce que c'était pour le mieux, parce qu'ils savaient mieux que toi ce qui leur bénéficiait le plus (ce qui me bénéficiait le mieux).
ix. Et Silence, peut-être, peut-être que tu aurais dû tout laisser tomber depuis le début, peut-être qu'avant même le commencement, tu aurais dû voir la fin.
x. Parce que tu savais déjà, tu te doutais déjà que ça ne finirait pas bien, tu n'as jamais su satisfaire les gens, tu ne savais que faire de ton mieux et ton mieux n'était jamais assez. Tu avais un Minimum, certes, mais le pire Minimum qui soit pour toi. Un comble, quand on savait qu'un Minimum émergeait de l'ego. Mais tu étais un idiot, un crétin, un imbécile dont l'ego était complètement tourné vers l'extérieur, un non-ego en somme, c'était celui des autres qui l'avait influencé. Ce n'était pas ton Minimum. C'était le Minimum qu'ils voulaient pour toi (mais ça fait mal oh ça fait tellement mal je veux que ça s'arrête je suis désolé). Ce qui n'était pas prévu, c'était l'effet que tes déflagrations sonores avaient parfois, il y avait même une fois où tu avais réduit quelqu'un à l'état de légume pendant quelques heures à cause du choc nerveux, il avait fait l'erreur de vouloir te retirer ton casque de force (pardon pardon je suis désolé je ne voulais pas ça pardon ça fait mal je sais pardon pardon). Au fil du temps, on apprenait à se méfier, à se distancer de toi, c'était plus sûr, un tympan, ça ne se répare pas facilement. Tu étais seul. A nouveau.
xi. Mais Silence, oh, Silence, tu n'as jamais su que décevoir après tout, à quoi t'attendais-tu, pourquoi t'accrochais-tu ?
xii. Tu avais toujours peur, tellement peur de faire un faux pas, tu ne faisais plus rien, tu t'enfermais dans ton mutisme, silence, silence, ce silence qui t'avait effrayé et qui maintenant te réconfortait (c'est mieux ainsi pardon pardon vous comprendrez je suis sûr que vous comprendrez). On ne pouvait plus t'arracher un mot et encore moins t'encourager à faire quoi que ce soit. C'était bien plus simple de rester dans ta chambre à faire le mort, à fixer le plafond à écouter du bruit blanc, ils ne pouvaient plus tirer grand-chose de toi. Mais vu l'état dans lequel tu étais, vu le handicap dont tu souffrais, ils n'avaient aucune raison de te garder dans leurs rangs, tu n'allais jamais rien devenir d'important (je suis désolé je ne l'ai jamais été je n'aurais pas dû venir je suis désolé). Tu pouvais le contrôler, c'était suffisant pour que tu ne nuises pas à la société, avec une personnalité aussi faible aucun moyen que tu deviennes un criminel, tu allais probablement finir reclus chez toi jusqu'à la fin de tes jours. Autant te mettre à la porte.
xiii. Mais Silence, oh, tu aurais dû savoir à ce moment-là, tu aurais déjà dû réaliser que jamais rien de bon ne vient de laisser les autres prendre tes décisions.
xiv. Pire encore que le jugement à Facultas était celui qui t'attendait chez toi. Ils ne disaient rien, mais c'était tout comme, tu n'étais pas idiot, tu lisais facilement la pitié, la déception, le mépris voire dans leurs yeux (mais ils ont raison j'avais les chances j'avais les moyens je suis un idiot). Mais tu n'étais pas beaucoup plus courageux qu'au temps de l'Académie, tu choisis la fuite à nouveau, tu choisis de vivre enfermé, tu choisis de ne pas leur faire honte, tu choisis la prison une nouvelle fois, de ta propre initiative (pardon je suis désolé je ne recommencerai pas je ne vous décevrai pas plus non pas plus). Il n'y avait rien dehors, rien que tu désires. Tu voulais juste le silence.
xv. Et là seulement, là seulement tu as compris, tu as compris que rien de tout ça ne serait arrivé si seulement, si seulement, si seulement tu n'avais pas essayé.
xvi. Une nouvelle page se tournait. Tu ne faisais pas grand-chose de tes journées. Tu suivais tes cours par correspondance, toujours incapable de supporter le brouhaha d'une véritable salle de classe, puis tu lisais, puis tu étudiais à nouveau. Parfois tu te réfugiais aux côtés d'un instrument et te perdais quelques instants dans tes morceaux préférés, parfois tu t'enfermais dans ta chambre pour écouter les grésillements de ton traitement. C'était morne, c'était monotone. C'était parfait.
xvii. Et peut-être que ton bonheur ne tenait qu'à ça, une tasse de chocolat chaud, du Stephen King et le silence. Une cage dorée. Une cage fermée.
xviii. Toujours était-il que l'année de tes 18 ans venue, tu avais de plus en plus de mal à supporter le regard de ta famille, tu le sentais peser sur toi et tu avais envie de vomir (pardon pardon pardon je m'en vais je sais que je ne devrais pas être ici j'aurais dû être là-bas être Facultas pardon), tu en étais presque devenu scopophobe, avec ses regards accusateurs qui te suivaient quand tu traversais furtivement une pièce. Une excuse, il te fallait une excuse : tes études. Ton problème d'audition s'arrangeait un peu, tu pouvais prendre ce risque, non, tu voulais prendre ce risque, tu voulais fuir à nouveau (je ne sais faire que ça), rien ne pouvait te terrifier plus que ce jugement qu'ils portaient sur toi.
xix. Et tu es parti, tu as prétexté, prétexté que tu voulais faire de "vraies" études, que la branche que tu voulais nécessitait une présence physique et c'est comme ça que tu as atterri à Yokohama. Peut-être que tu aurais dû t'abstenir, peut-être que tu aurais dû rester et subir, comme tu le faisais si bien, comme tu l'avais toujours fait.
xx. Tu n'étais rien. Tu n'es rien. Tu ne seras jamais rien. Que vide. Que néant. Que Silence.
PSEUDO ▲ oxy ou toxy, j'imagine ÂGE ▲ je veux pas être majeur *sobs* GENRE ▲ heehee COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM? ▲ *stares* COMMENT TU LE TROUVES? ▲ jaune #jesuisconstructif (c'est plus beige actually mais chut) DOUBLE COMPTE? ▲ nope AVATAR/FACECLAIM ▲ koide natsuno de shiki (et occasionnellement des gens random quand j'aurai plus d'images) AUTRE? ▲ never pue j'aime les écharpes
ID Minimum: Destroy Minimum Occupation: Sucre Relations:
Sujet: Re: soundless voice. Jeu 9 Oct - 15:17
Hey toi! Oui toi là! Quand t'as fini tu préviens OK ? SINON JE TE DKZENJIDPZJE MIKUMOOOOOOOOOOOOOOOO ♥ Yaa ! Bon, tu me connais, je te connais etc etc. Tu sais ce que je dois faire et ce que tu dois faire, on s'met directement au clair. Un petit check et tout à la maison tranquille ! *check et tout* Bon j'arrête mes conneries, je me dois d'être une personne sérieuse! (avec cette blague je peux gravir les cieux !) Cependant... Vous aimez vraiment les personnes asociales ? C'est marrant, ça nous fait deux asociales ! M'enfin bref, c'était le passage HS ! ~ ♫ Toi & Rui... enfin. Ash&Silence, un rp ensemble ne doit pas être très... parlant. Je me demande qui commencera le dialogue d'ailleurs ! *ahahah* Enfin bref, le personnage est super chou, *hug*. Je n'oserais pas lui faire de mal mais je te gratterais un RP quand même, tu me connais quand même. Puis j'ai jamais RP avec toi, tu ne peux qu'accepter ! L'excuse de Kirito ne passera pas sur ce forum ! èwé *pan* Bon, la psychologie est super cool et t'écris bien ! Ça donne envie de lire et tout alors j'entame directement la suite ! *va lire l'histoire* (oui parce que j'écris ce post au fur & à mesure de la lecture.) *s'arrête au x* waouh... tu écris trop bien mais souvent "Silence, Oh Silence" on se croirait dans un théâtre c'est spécial mais tu écris si bien que je te pardonne pour ça. TT *continu* Waouh... sérieux, c'est une histoire bien triste que tu nous écris là... Et ton personne est fort intéressant et va être difficile à jouer, ne le cache pas. (j'imagine les tortures que Never va lui faire... pupupu ~ ♫) *désolé je ne peux pas lui faire de mal, le pauvre chou TT* Enfin bref, je te valide, c'est comme Kagepro ici, tu connais la maison ! J'espère pouvoir un de ces quatre RP avec toi, bonne continuation, bon RP & Bienvenue sur Hamatora RPG. ♥