Hamatora
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 Hajime .:. I'm hungry

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Hajime

Hajime


Messages : 1
Date d'inscription : 23/11/2014

ID
Minimum:
Occupation: (c'est le métier hein)
Relations:

Hajime .:. I'm hungry Empty
MessageSujet: Hajime .:. I'm hungry   Hajime .:. I'm hungry Icon_minitimeLun 24 Nov - 18:37



nom ▲ Inconnu.
prénom ▲ Hajime
âge ▲ Inconnu, environ 15-16 ans
date & lieu de naissance ▲ 2 novembre - Inconnu
sexe/genre ▲ Féminin
orientation sexuelle ▲ Hétérosexuelle
statut ▲ Célibataire
occupation ▲ Goinfre professionnelle, squateuse du café Nowhere et videuse de poches de Nice.
groupe ▲ Hamatora

description & déclencheur du minimum ▲ Nihilist Miminum

Aussi appelé "Minimum du néant", c'est un minimum hors du commun, capable d'éliminer tous les autres minimums environants. Il absorbe l'énergie des holders présents dans son champ d'action et offrent à Hajime une capacité de régénération à grande vitesse. Même lorsqu'il est inactif, il semble toucher les personnes dont Hajime est proche sans qu'elle ne puisse réellement le contrôler. C'est un minimum considérer comme dangereux, et seul un profond désespoir, un chagrin inconsolable peut le déclencher.
INTÉRIEUR

Le Lorem Ipsum est simplement du faux texte employé dans la composition et la mise en page avant impression. Le Lorem Ipsum est le faux texte standard de l'imprimerie depuis les années 1500, quand un peintre anonyme assembla ensemble des morceaux de texte pour réaliser un livre spécimen de polices de texte. Il n'a pas fait que survivre cinq siècles, mais s'est aussi adapté à la bureautique informatique, sans que son contenu n'en soit modifié. Il a été popularisé dans les années 1960 grâce à la vente de feuilles Letraset contenant des passages du Lorem Ipsum, et, plus récemment, par son inclusion dans des applications de mise en page de texte, comme Aldus PageMaker.
EXTÉRIEUR

150 cm ▲ 42kg ▲ Noirs ▲ Roses foncés ▲ Caramel au beurre de sel. ▲ Une douce odeur de sucreries ▲ Une visière toujours vissée sur le crâne.

Une petite description optionnelle, vous n'êtes pas obligés!
DERRIÈRE


Du blanc.

Une lumière aveuglante. Une pièce close. Une prison ? Pire que ça, un enfer. Solitude. Ténèbres. Peur. Toujours plus de peur. Est-ce une vie ? Comment peut-on accepter de vivre ainsi ? On n’accepte pas. On survit. On attend que le temps passe. Enfermée dans une cage. Avec d’autres enfants qui pleurent. Chacun porte un bracelet doré, comme le tien. Ils se plaignent. Cela t’insupporte. Ils supplient leurs mères. Cela t’agace. Personne ne les entend. S’apitoyer sur leur sort ne les avancera à rien. Tu restes dans ton coin, immobile. Le regard perdu dans le vide. Et tu attends. Que le temps passe. Que les pleurs cessent. Que ce soit ton tour. Ils sont comme toi, abandonnés par leurs parents. Tu les trouves ridicules. Tu aimerais qu’ils arrêtent de pleurnicher. Mais tu ne dis rien. Chaque jour, ne nouveaux partent. Plusieurs, à chaque fois. « Quand cela sera-t-il mon tour ? », « Quand saurais-je où ils sont emmenés ? », « Quand mettra-t-on fin à ma solitude ? ». Tu n’as que ces questions pour t’accrocher à la vie. Pour surmonter ton impatience. Ceux qu’on emmène ne reviennent jamais. Et d’autres arrivaient. Les vas-et-viens ne s’arrêtent pas. Tu n’es plus capable de peur ni de tristesse.

Et ce fut ton tour.

Tu ne ressens rien. « C’est mon tour », est tout ce que tu te dis. Tu te lèves et sors. Tu dois être la seule à ne pas t’être fait tirer dehors par la force. A accepter de sortir en marchant seule. La tête haute. Une coupe vide. Même la mort ne t’effraie pas. Un lit. Tu y es attachée, mais tu ne bouges pas. Tu te contentes de fixer cette lumière au dessus de ton crâne, comme si elle était ton salut. Tu n’as pas peur. Jusqu’à cet instant.

Autour de toi, on s’agite. Apparemment, d’après ce que tu comprends, il a eu un évadé. La curiosité t’emporte, tu tourne les yeux vers l’écran. Et tu la vois. Cette chose. Cette masse difforme qui se déplace en poussant des cris stridents. Et qui porte un bracelet doré. Et tu comprends. Et tu as peur. Des larmes. Ils le tuent. Tremblements. Il y en arrive des tas d’autres. Peur. Ils t’emmènent. Défense. Tu remues sur ton lit. Tu tentes de t’en sortir, sachant que c’est sans espoir. Une porte. Un cri.

« A l’aide ! »

Un flash. Blanc. Lumière aveuglante. Et plus rien.

Lorsque tu ouvres les yeux, tu es prisonnière à nouveau. Mais c’est une prison totalement différente. Tu es assise. Attachée. Reliée à une immense machine par une multitude de tuyaux. Tu retiens un soupire. Tu es encore là. Prisonnière. Mais vivante. Humaine, pas comme eux. « Pourquoi suis-je en vie ? » « Pourquoi ça n’a pas pris fin ? » « Quand cela cessera-t-il ? » Chaque jour, ils effectuent de nouvelles expériences sur toi. Sans que tu n’en comprennes le sens. Ils t’observaient comme un vulgaire objet. Décidaient de quand tu devais manger en t’envoyant des plateaux-repas. De quand tu devais dormir en éteignant les lumières de ta cellule. Seule dans le noir.

Puis, une lumière. Et une voix.

« Hey, tu es là ? »

Tu regardes la porte. La voix d’un jeune garçon. Il insiste, te demande s’il y a quelqu’un. Te traites de marginale et d’asociale. Tu lui cries dessus. Il te demande de lui parler. Tu lui demande son nom. Un nom. Rien qu’un nom qui pourtant sera ton salut, ton sauveur, ta délivrance.

Nice.

Quel nom bizarre. C’est ce que tu penses. Tu n’as jamais entendu un tel nom. Mais d’ailleurs, quand as-tu entendu un nom pour la dernière fois ? Et d’ailleurs, quel est le tien ? Tu n’en sais rien. Tu n’as plus qu’un numéro. Tu n’as plus de toi-même. Tu n’es plus humaine. Tu n’es qu’il objet. Il te demande ton nom. Tu n’en sais rien. « Comment t’appellent les gens ici ? ». Tu réfléchis. Tu n’es plus qu’une expérience. Une réussite. Réussite n°01. Il te force à te répéter. Tu t’énerves. Tu lui demandes ce qu’il veut, ce qu’il fait là. Il te répond de la manière la plus absurde qui soit ; parce que c’était « interdit d’entrer ». Idiot. Ton ventre crie famine. Tu as faim. Il s’en rend compte. Et passe par la trappe de tes repas, un hamburger. Il te dit de manger. Et il t’appelle par un nom que tu n’as jamais entendu. Hajime.

« Hajime… ? »

Hajime. Tu souris. Hajime. Des larmes. Tu manges enfin ce qu’il t’a offert. Des sanglots. Il t’a offert une identité. Il t’a fait revivre. Il t’a sauvée. Tu en as assez. Tu veux sortir. Tu n’as rien fait de mal. Tu tombes au sol, sans cesser de pleurer. Il ne peut pas comprendre ta douleur. Tu es humaine, toi aussi. Tu veux sortir. « Fais-moi sortir ». Il accepte. Vous irez dehors tous les deux. Tu ne veux plus être enfermée. Une promesse.

Le temps passe. Tu es seule, mais tu l’attends. Tu sais qu’il viendra. Et il vient. Il t’ouvre la porte. C’est maintenant ou jamais. Il te dit que tu es jolie. Et te tend la main. Vous voilà enfin réunis. Tu seras enfin libre. Vous courez à travers l’Institut, les gardes à vos trousses. Vous parvenez au mur. Tu grimpes à la corde. Encore quelques mètres. Tu y es presque. Les gardes arrivent. Tu monte toujours plus vite. Tu es presque dehors. Et on te tire sur la main. Tu vas abandonner. Tu as mal. Tu n’en peux plus. Il t’encourage. Tu veux sortir. Il te tend la main. Tu l’attrapes. Il te sourit.

Un coup de feu.

Et tout s’écroule. Il tombe du mur. Il ne bouge plus. Tu hurles. Tu descends. Tu le prends contre toi. Tu pleures. Tu cries. Il t’a abandonnée. Une vague d’énergie. Et tu tombes inerte, contre lui. Après cela, on t’a raccompagnée à Facultas. Tout était reparti de zéro. Tu n’avais plus d’espoir. Jusqu’à ce qu’un homme te fasse sortir. Master. Toi et une autre fille. Il vous a sauvées et vous a emmené au café Nowhere. Tu as grandi et t’es coupé les cheveux. Quelques années plus tard, tu as revu Nice.

Mais tu ne te souvenais pas de lui.

Tes souvenirs sont réapparus lorsque Cauchemar t’a emmenée dans les caves expérimentales où ces enfants transformés en bêtes étaient toujours là. Tout t’est revenu. Et les larmes coulent encore.

« Tout est de ma faute. »

PSEUDO ET/OU PRÉNOM ▲ Ichi, Mei-chan
ÂGE ▲ 17 ans
GENRE ▲ Je sais plus.
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM? ▲ La dictatrice Nice me l'a montré. ♥
COMMENT TU LE TROUVES? ▲ HAMATORAAAA ♥
DOUBLE COMPTE? ▲ Nope
AVATAR/FACECLAIM ▲  Hajime.
AUTRE? ▲ KEUR.
base © redSheep
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