Hamatora
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 Inspecteur Melon au rapport vv • DONE

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Melon

Melon


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Inspecteur Melon au rapport vv • DONE Empty
MessageSujet: Inspecteur Melon au rapport vv • DONE   Inspecteur Melon au rapport vv • DONE Icon_minitimeLun 6 Oct - 20:51



nom ▲ À force d'omettre ce détail je l'ai zappé.
prénom ▲ Melon
âge ▲ Vingt ans
date & lieu de naissance ▲ 31.10, dans un hôpital à Ise
sexe/genre ▲ Une femme, ça ne se voit pas peut-être ?
orientation sexuelle ▲ Bisexuelle
statut ▲ En couple avec la connerie. ♥
occupation ▲ Inspecteur
groupe ▲ Police

Analyst Minimum ▲ Melon peut distinguer puis retenir certains éléments de l'environnement dans lequel elle se trouve ou d'une photo, que beaucoup ne verraient pas. Afin d'activer son minimum -attention lecteurs ne soyez pas choqués- elle se cure l'oreille droite avec son index droit.
INTÉRIEUR

~ She's a wolf in a lamb's disguise ~

What a pain in the ass ; t'as toujours la flemme, t'es vulgaire comme pas deux... bref, t'es irrécupérable. On te demande un truc, tu dis toujours que franchement ça ne te tente pas et que tu préfères encore ne rien faire. Bien entendu ça attise l'agacement des autres, tu le sais, mais t'as l'air de t'en foutre : en fait, ça te fait rire mais tu ne le montres pas toujours. En plus de ça, quand les autres te font des commentaires désobligeants tu les envoies souvent balader parce que t'en as rien à faire de ce qu'ils pensent de toi, tant que tu te plais à toi-même ça te convient dans le fond. Ce n'est pas comme si l'amour ça te branchait de toute manière, surtout que le changement pour plaire à l'autre, c'est pire que fatiguant, ça te tue.

Zero delicacy ; tu vois toutes ces filles à l'allure resplendissante, qui font attention à leur manière d'agir ? Bah toi, t'es tout l'inverse. Tu n'as aucune élégance, limite tu te cures le nez en public ça ne te choque pas, tu portes des vêtements démodés, parfois on a limite l'impression que tu les sors d'une poubelle. T'es toujours décoiffée parce que tu ne prêtes aucune attention à ton apparence et certains de tes collègues te réprimandent souvent pour ça. Mais dans le fond tu considères que tant que tu fais ton boulot correctement, ils n'ont rien à te redire sur ta manière de te présenter. Par contre, si le cœur t'en dit, tu es très bien capable de soigner ton apparence... enfin, même si tu portes un uniforme scolaire avec. T'as aucune logique de prête dans ta tête et on ne sait jamais ce que tu penses.

Do you have a brain ? ; t'as l'air complètement stupide, à tournoyer sur toi-même ou à courir à travers la pièce en faisant l'avion. Mais on y peut rien, dans ta tête t'as encore une part de toi qui est gamine. Du coup on ne te prend pas au sérieux, mais tu sais très bien que tu peux l'être... encore faudrait-il le montrer aux autres, ce côté réfléchi. T'es loin d'être totalement écervelée, t'as un tas de connaissances que tu ne juges pas utile de déballer parce que c'est pour ton propre mérite et que t'as pas un ego démesuré... quoique. Parfois, c'est à se demander si ce qui ne te frustre pas le plus ce n'est pas l'injustice mais les grosses poitrines, parce que t'es une planche à pain. C'est triste que la nature n'ait pas été généreuse avec toi.

I'm not talentless you know ; même si la plupart des gens de ton entourage croient que la seule chose que tu sais faire c'est être crado, tu sais qu'ils se trompent. Parce que t'es un as de la cuisine mais que t'es trop radine pour partager ta nourriture avec les autres... c'est ça de voir la vie façon Melon. Tu t'y connais en tâches ménagères même si tu as l'air totalement négligée : en vrai, ton bureau il est clean, si un truc n'est pas à sa place tu deviens complètement tarée. T'as un autre talent, c'est effrayer les gens. Tu ne sais pas comment tu fais, mais tu sors d'endroits tellement inattendus que les autres prennent peur et se taille. Pour toi c'est parfaitement normal de sortir d'un arbuste mais ce n'est pas le cas de tout le monde.

I think with my stomach ; y'a des trucs auxquels tu ne peux pas résister dans l'alimentation, c'est les glaces. Une personne normale en prendrait une boule ou deux, toi on ne les compte pas et c'est limite si elles peuvent tenir sur le cornet. Parce que tu veux tout goûter ça finit souvent en catastrophe sauf qu'au lieu de te blâmer toi, tu râles après les autres en jugeant que c'est de leur faute. D'ailleurs, la majorité de ton salaire passe dans la nourriture... mais comme si tu tenais une famille de six personnes. T'es vraiment désespérante, encore plus quand on sait que t'es flic mais tu t'en tamponnes parce que ça te ravit. Ça te fait même sourire.

Emotionless ? ; t'as beau avoir tout le temps l'air blasée, tu sais très bien rire, sourire. Mais pour ça, faut vraiment que t'apprécies la personne face à toi sinon ce n'est pas la peine. Tu peux être digne des plus magnifiques grimaces aussi, dans le genre bien horribles qui feraient rire presque n'importe qui. Les expressions moqueuses, ça aussi tu connais très bien. T'aimes bien les utiliser quand tu surpasses quelqu'un qui te pensait extrêmement stupide... ce genre de sourire narquois en coin qui ferait rager toute personne censée, toi, tu les aimes mais seulement quand c'est toi qui les fais : parce que tu ne supportes pas qu'on fasse le malin avec toi.

Fearless maybe ? ; t'as pas peur de l'action, ni même de tenir un flingue ou de tirer. On pourrait croire que tu n'as pas froid aux yeux et que tu ne crains rien, mais bon dieu, toi tu sais à quel point c'est faux. T'as peur des poupées mais comme t'en as honte, t'essaies de le cacher du mieux que tu le peux sauf que tu n'es pas faite pour un avenir d'actrice à cause de ça, ça se voit. T'es tellement maladroite que tu te fous dans la merde toute seule et que si jamais tu te retrouves face à ta seule phobie, tu perds tes moyens et t'es même pas capable de réfléchir : tu te barres en courant, limite en pleurnichant en criant que tu es désolée d'exister.

Bref ; t'es quand même un peu stupide sur les bords, mais tu n'y peux rien... de toute façon, tu as la flemme de changer quoi que ce soit à ton existence. Ça aurait trop de répercussions et devoir tout gérer serait fatiguant, alors tu te contentes de vivre comme tu le souhaites en restant à l'écoute des quelques gens qui osent se confier à toi. Et même si ça ne se voit pas spécialement, tu donnes de très bons conseils bien qu'ils soient tournés de manière bizarre avec des exemples hors du commun et parfois farfelus eux aussi.
EXTÉRIEUR

Un mètre soixante-douze ▲ 58kg ▲ Cheveux blonds ▲ Yeux noisettes ▲ Teint normal, parfois basané à cause de Mr.Soleil ▲ Odeur d'ordures Sent la noix de coco ▲ Toujours un triangle bizarre sur la tête... faut pas se poser de questions ▲ Planche à pain ▲ Porte des tenues étranges à carreaux qui font pauvre, ou des cosplays
DERRIÈRE



Ton enfance ? Elle n'a pas été traumatisante. Tu es loin d'être le genre d'enfant à devoir se plaindre de son passé ou de sa famille, car toi tu as vécu avec tout l'amour que l'on pouvait te donner. Il n'y a pas grand chose de triste à raconter sur ton expérience de la vie, mais il reste tout de même quelques parties plus noires que d'autres... personne n'a une vie toute rose après tout, si ? De toute façon si rien ne s'était passé, il est fort possible que tu n'aurais pas daigner enregistrer grand chose parce que tu risquerais de considérer ça comme ennuyant, ou trop commun. Tout comme jouer les martyrs d'ailleurs.

Il y a cette fille, née un 31 octobre soit le jour d'Halloween. Qui aurait cru que cela ferait le bonheur de deux personnes, en ce jour où les enfants sont censés récolter des bonbons dans divers pays en faisant du porte à porte ? Cette enfant, c'était toi et nulle autre : au moins, tu avais évité à ta mère de devoir se forcer à offrir des friandises aux quelques gamins mal lunés qui pouvaient rôder dans le voisinage... même si la plupart des habitants étaient des vieux. Tu étais ce petit bébé à l'apparence si fragile, aux grands yeux remplis de curiosité. On t'a appelée Melon, tu ne sais pas trop pourquoi, mais tu aimes bien la sonorité de ce nom, ça fait jeune femme élégante ou mignonne, au choix. Il te plaisait tellement que la première fois que tu l'as entendu, tu as émis un petit gazouillement, comme pour y répondre. Mais bon ça n'avait rien à voir, c'était juste parce que le docteur t'embêtait à t'examiner.

Tu avais toujours cette habitude de solliciter énormément l'attention de ton père parce que tu voulais qu'il te remarque encore plus et qu'il te dorlote. Tes premiers mots, tu les avais retenus de lui... et ils n'étaient pas bien jolis. Tu l'avais compris ça, parce que ta mère grondait souvent ton paternel pour ça. Et toi ? Ça te faisait rire. Tu riais tout le temps et tu débordais de joie. Chaque soir, tu allais t'asseoir entre ton père et ta mère, et tu les suppliais de te lire une histoire, en les regardant d'un air insistant avec tes yeux si innocents. Alors ils te contaient quelques aventures que tu trouvais incroyables et que tu avais l'habitude de croire aveuglément, parce que tu étais avant tout une enfant à l'époque. Et puis comme c'était ton héros que tu écoutais, forcément tu allais plus facilement gober ce qu'il pouvait te raconter que si c'était quelqu'un d'autre.

Tu avais grandi en recevant ses éloges parce que tu étais toute mignonne, il fallait dire qu'à l'époque tu agissais comme n'importe quelle petite fille et tu te montrais féminine au possible : pas pour plaire à ces petits idiots du quartier, non, mais pour rendre ton papa heureux. Et ta maman aussi, car même si tu lui montrais moins, tu tenais beaucoup à elle et à ses grands yeux ambre. D'ailleurs tu avais toujours rêvé d'avoir les mêmes, et tu adorais te refléter dans ceux-ci parce que cela prouvait qu'elle te donnait de l'attention de temps à autre. Car effectivement, étant toujours occupée avec son travail, cette magnifique demoiselle qui te servait de mère ne jugeait pas utile de passer plus de temps avec toi qu'avec ses papiers ou son patron. Bien sûr tu étais trop jeune à l'époque pour te douter que ta mère ne faisait pas que travailler pour lui, maintenant tu le savais...

Parce que tu les avais surpris. Toi qui avais vu ton papa adoré pleurer chaque jour, tu voyais à présent ta mère entreprendre une partie de jambes en l'air avec son supérieur, entreprenant de ce fait une liaison des plus pimentées et des plus douloureuses pour l'occasion. Et toi, innocente et stupide comme tu l'étais, tu avais ouvert la porte et tu avais regardé la scène avec de grands yeux, ne comprenant pas grand chose. Qui aurait cru que tu rentrerais si tôt chez toi parce que tu étais malade ? Pas elle en tout cas... et elle ne t'avait même pas vue. Inconsciemment tu jugeas bon de supprimer toute part de féminité en toi parce que tu refusais de devenir comme elle : maintenant, lorsque tu la croisais tu ne lui souriais plus et sur son visage était dessiné une énorme croix rouge, signifiant que tu reniais son existence. À partir du moment où elle avait fait pleurer ton papa, tu ne l'aimais plus.

Plus le temps passait, plus tu te comportais comme un homme parce que tu redoutais que chaque part de femme en toi puisse à nouveau chagriner ton papa, qui semblait déjà bien vide de vie. Oui, il l'aimait ta "mère" et elle lui faisait croire qu'elle aussi, pourtant elle ne se gênait pas pour en voir un autre en parallèle. D'ailleurs il était certainement au courant mais n'avait pas le courage de partir par amour et aussi parce qu'il était concerné par ton cas, très certainement. Un jour, tu le surpris à pleurer dans son coin, croyant être seul à la maison. Et pourtant il fut bien surpris de te trouver à cet instant-là, entourant tes petits bras autour de ses larges épaules. Tu le sentais, il ne comprenait pas ce qui se passait et pourquoi il se retrouvait dans ton étreinte. D'une douce voix, tu déclaras finalement.

« Tu sais papa, je suis au courant pour "elle". Tu n'as pas besoin de la protéger. Partons, je ne veux plus la voir. »

« Elle... mais c'est ta mère, comment peux-tu dire ça d'elle ? Elle serait très blessée de t'entendre dire ça... et puis moi je ... »

« Une femme qui te fait souffrir ne mérite pas de vivre. »

Vous aviez fini par abandonner cette horrible femme, celle qui vous faisait tant tourner en bourrique et qui vous tourmentait l'esprit. Sur le coup elle n'avait pas compris et avait fait semblant de pleurer, mais le regard que tu lui avais lancé avant de refermer la porte voulait dire "j'ai gagné, tu as perdu". Elle s'était effondrée et toi, tu en étais fière parce que maintenant c'était elle qui en subissait les conséquences. Pour une enfant de dix ans cette attitude pouvait sembler invraisemblable et pourtant c'était loin d'être une exagération ou pire, un mensonge. Tu avais toujours eu cette habitude d'être aussi franche que possible, sans jamais mâcher tes mots parce qu'on t'avait élevée comme ça, et tu ne changerais rien à l'institution de ton père. Oui, tu avais eu ta vengeance sur cette femme... et tu en étais fière : tu t'étais débarrassée d'un poids inutile qui te pesait sur la conscience et dès lors ton père pourrait être libéré de ses chaînes et vivre à nouveau dans la joie.

Bien entendu tu ne t'attendais pas à ce qu'il se renferme sur lui-même aussi longtemps : il ne se nourrissait presque pas, c'était pour cela que tu avais décidé d'apprendre à faire à manger; afin qu'il ne meurt pas de faim. Ahh, ce que tu pouvais être attentionnée à son égard ! Sans t'en rendre compte, ta féminité refit progressivement surface et bien sûr ça c'était ce que tu souhaitais éviter à n'importe quel prix. Un jour, alors que tu t'occupais tranquillement du ménage, ton père sortit enfin de son bureau. Toi qui t'imaginais être heureuse à cette idée tu fus bien vite déçue par ce qu'il allait te dire. Evidemment, toi qui n'avais rien remarqué tu ne pouvais pas t'en douter, hein.

« Tu sais Melon... tu ressembles beaucoup à ta mère... »

Ça, vois-tu, c'est le genre de truc qu'on ne dit pas à une gamine de quatorze ans qui a renié sa mère. Et c'était ton cas : pour beaucoup ça aurait été un compliment, pour toi c'était un blasphème. Et aussitôt tu devins complètement masculine, tu arrêtas de prendre soin de toi, tu te coupas même les cheveux comme un garçon manqué... sauf que la manière dont tu agissais, c'était le cliché de l'homme parce que ton modèle n'avait jamais été comme ça. Mais au moins, comme ça, tu avais moins de risques de le blesser. C'est ainsi que tu dis adieu à ta vie en tant que femme, pour accueillir à bras ouverts un comportement des plus horripilants et repoussants qui puisse exister. Te curer le nez ou les oreilles dans des lieux publics, ne pas te coiffer, porter des vêtements troués... ça t'indifférait complètement, et ça avait fini par devenir une habitude. Mais tu faisais ça pour son bien.

*Je suis désolée Papa, je n'ai pas pu te sauver...*

Des paroles que jamais tu n'avais eu l'occasion de prononcer car seulement quelques jours après qu'il ait mis fin à ses jours tu avais été embarquée dans une Académie, où tu avais décidé d'ignorer tout le monde simplement pour éviter de créer des liens inutiles. Ils avaient vu en toi ce qu'ils qualifiaient de Minimum. Toi ? Tu n'y connaissais pas grand chose et pour être honnête, tu n'en avais rien à foutre. Tout ce que tu souhaitais toi, c'était partir d'ici et devenir flic : oui, c'était ton rêve. Et personne, pas même eux pourraient te l'ôter. Dans le fond tu étais persuadée que dans les services de police il n'y avait que des bonhommes, des vrais, pas des espèces de pimbêches roulant du derrière constamment : c'était en partie pour cela que tu voulais t'y inscrire.

On te décela bien vite la capacité à analyser certains éléments auxquels d'autres ne prêteraient pas attention : l'Analyst Minimum d'après ce que tu avais cru comprendre. Cool, enfin un truc qui pourrait te servir à quelque chose dans la vie. Pourtant cela ne semblait pas te satisfaire : ici, tu te sentais piégée alors dès que tu en eus la possibilité tu t'en allas, ne te faisant pas prier. De toute manière ce n'était pas comme si tu allais regretter cet endroit : certes le peu de gens avec qui tu avais parlé s'avéraient plutôt gentils malgré ta conduite hors-normes pour une femme, mais tu avais décidé de ne pas t'enticher d'eux car tu ne jugeais pas cela nécessaire. Bien vite tu rejoignis les forces de l'ordre afin de faire régner justice dans Yokohama.

Enfin bon passer de la campagne à une Académie puis à la ville ce n'était pas évident, toi qui n'étais pas douée pour te repérer. Tu faisais de ton mieux pour t'y retrouver pour ne pas te retrouver avec une collègue : et pourtant, on te colla une pimbêche aux basques. Avec une énorme poitrine. Une nana superficielle. Le genre de truc qui t'énervait comme pas possible quoi. Son nom ? Tu t'en foutais : pour toi, c'était Titiko, rien d'autre. Elle devait t'accompagner lors de touuutes tes missions jusqu'à que tu sois foutue de retrouver ton chemin. D'ailleurs, qu'est-ce que ses discours pouvaient te lasser parce que c'était toujours de ta faute, tu manquais de féminité et coller tes crottes de nez sur son dos ce n'était pas permis. Mais ça, tant qu'elle ne l'écrivait pas clairement sur son dos, tu ne te gênais pas de le faire car elle t'insupportait.

Il fallut que tu atteignes vingt ans avant que tu ne sois enfin capable de te débrouiller seule dans la grande ville de Yokohama. Dit comme ça, ça faisait pitié mais tu en avais l'habitude et puis ça avait fini par ne plus t'atteindre. Une mission te fut donnée et au moment d'interpeller le suspect, tu le reconnus. Oh oui, cette belle pourriture. Comment aurais-tu pu oublier ce visage ? Lui qui était responsable de la mort de ton père, parce qu'il avait séduit cette femme libertine. Oui, cette raclure de patron qui ne méritait que de bouffer le bitume. Bien entendu tu avais juré au moment de ton embauche que tu ne ferais pas des enquêtes une affaire personnelle alors tu faisais de ton mieux pour éviter que ce soit le cas. Cependant comme il se montra résistant et prit la fuite, tu le poursuivis, très ravie qu'il tente de s'évader.

Une fois dans une impasse il se tourna vers toi et réalisa qu'il était pris au piège. Éclatant de rire il sortit un flingue qu'il pointa dans ta direction, sursautant en te voyant faire de même. Pendant quelques instants le silence régna entre vous deux, chacun visant l'autre avec son arme. Puis finalement, cet air arrogant que tu détestais tant s'installa sur son visage, une expression que tu aurais préféré ne jamais voir sur une ordure pareille parce que tu savais que tu risquais de l'étriper. Quand tu le vis placer son doigt sur la gâchette en s'approchant de toi, tu te figeas, ne laissant rien apparaître sur ton visage avant plusieurs secondes. Te faisant face en te regardant d'un air supérieur, il baissa un peu sa garde, trop occupé à vouloir se vanter.

« Allons, nous savons très bien que tu ne pourras pas tirer. Autant que je te descende ici tout de suite, on ne m'attrapera jamais de toute manière. »

À ces mots ce fut plus fort que toi, tu éclatas de rire sous son air consterné. Il braqua bien vite à nouveau son flingue sur toi, prêt à tirer.

« Enchantée ! Inspecteur Melon au rapport. ♥ »

Il pressa la détente en te regardant d'un air effrayé, ne touchant que ton épaule. Au même moment tu avais appuyé sur la gâchette, le visant en plein cœur. Sous ton air ravi il périt, baignant dans son sang. Tu mis du temps à réaliser le sang qui coulait à flot de ton épaule, et tu finis par t'écrouler par anémie, le truc con quoi. Bien entendu, comme il n'y avait pas de témoin mais que tu avais été blessée par l'arme de ce porc, l'affaire était passée comme résolue et tu n'avais pas reçu de réelle sanction en dehors d'un rapport : tu ne mentis pas, mais tu ne contas pas toute la vérité non plus. Enfin, tu vivais ta vie bien tranquille même après ça : il fallait dire que tuer cet homme ne t'avait pas beaucoup secouée car tu continuais d'embêter tes collègues avec ta flemmingite aiguë, tes mimiques énervantes et tes actions des plus dégueulasses. Mais ça, tu en étais fière et tu avais décidé de continuer à vivre de la sorte devant autrui.

PSEUDO ET/OU PRÉNOM ▲ Kaede; Kohi; Choco
ÂGE ▲ Seize ans, bientôt dix-sept
GENRE ▲ I'm a rabbit.
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM? ▲ Bah je sais tout donc forcément. ♥ *PAN*
COMMENT TU LE TROUVES? ▲ IL EST COOL. **
DOUBLE COMPTE? ▲ Nope~
AVATAR/FACECLAIM ▲ Momiji Binboda de Binbougami Ga ! 
AUTRE? ▲ Même que Ashley de Warioware bah elle est trop cute. o/
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Summer

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MessageSujet: Re: Inspecteur Melon au rapport vv • DONE   Inspecteur Melon au rapport vv • DONE Icon_minitimeMer 26 Nov - 10:16

j'aime meloooooon
le seul truc qui me dérange c'est que tu dis que melon se comporte comme un mec et renie totalement son côté féminin du coup c'est pas genre elle est trans ou un truc du genre? :'D sinon c'est trop cool ok et tu décides de ça toute façon tu fais ta vie /bam (d'ailleurs "[23:06:32] quel connard ce antoine: Dit à Melon que je lui gratte un rp s'il te plaîîîîît sinon je remet le gif de Slaine :<" (oui je l'ai appelé connard) ) je te valide et wala part poster tes pavés :<
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Melon

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MessageSujet: Re: Inspecteur Melon au rapport vv • DONE   Inspecteur Melon au rapport vv • DONE Icon_minitimeMer 26 Nov - 14:33

Moi aussi je l'aime Melon owo *Sort*
Et bien elle n'est pas trans' parce que sinon ça signifierait qu'elle a changé de sexe... or ce n'est pas le cas, elle est toujours une femme ! À la rigueur il lui arrive parfois de se travestir, mais c'est plus son comportement qui fait qu'elle renie sa féminité (faut avouer que coller ses crottes de nez sur les gens c'pas joli joli et très féminin). De toute façon elle est bizarre vv
C'est avec plaisir que je le laisse gratter un rp avec ma planche à pain. o/
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MessageSujet: Re: Inspecteur Melon au rapport vv • DONE   Inspecteur Melon au rapport vv • DONE Icon_minitime

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