Making the world a better place • Art アート | Complète ? - 100% |
Auteur
Message
Art
Messages : 1
Date d'inscription : 06/10/2014
Age : 31
Localisation : Un petit pays pas très intéressant non loin de la France
ID Minimum: Regeneration Minimum Occupation: Terroriste. Oh, wait. Relations:
Sujet: Making the world a better place • Art アート | Complète ? - 100% | Lun 6 Oct - 19:53
prénom ▲ Art âge ▲ 21 ans date & lieu de naissance ▲ 25 Février 1993 • Yokohama sexe/genre ▲ masculin orientation sexuelle ▲ pas difficile bisexuel statut ▲ célibataire endurci occupation ▲ Ancien inspecteur de police groupe ▲ Hamatora voix ▲Hiroshi Kamiya
description & déclencheur du minimum ▲ Minimum de Régénération • Art est capable de se régénérer, c'est-à-dire de guérir de blessures graves ou légères et même de revenir à la vie. ( Ouais, carrément : la mort ou une p'tite coupure - du genre de celles qu'on se fait en tournant la page d'un bouquin - c'est le même combat. ) Pour ce faire, il doit cependant subir une blessure fatal au cœur.
INTÉRIEUR
Soupire. Gros soupire. Et du café. Avec un, deux, trois morceaux de sucre. Bon, c'est parti. Art, vingt-et-un ans. Jeune homme travailleur, peut-être un peu trop. Mais bon, on n'a rien sans rien, pas vrai ? Il n'y a rien qu'il n'ait eu sans l'avoir mérité. Bon, d'accord, presque rien. Croit-il ? Non, ce n'est pas bon, reprenons ! Art, va sur ses vingt-deux ans, jeune homme travailleur à n'en pas douter et très calme de nature. Parce que, voilà, si lui ne garde pas tous ses ressentiments à l'intérieur, ça ne va pas le faire. Parce que, oui, c'est un être humain. Tous les êtres humains ont parfois envie d'exploser. Pas vrai ? Euh, non, attendez, cette fois, c'est la bonne ! Art, super travailleur, de nature calme, d'un caractère doux, un peu effacé ( ou aussi transparent que de l'eau de source), mais toujours investi dans ce qu'il fait. Prévenant, attentionné, amical, modeste, patient, poli, réfléchi, vraiment intelligent, ça, c'est indéniable. Art, avec son grand sens de la justice. Art, qui n'a rien comprit à la vie. Non, non, ce n'est pas ce que je voulais dire ! Tout le monde craque de temps en temps, pas vrai ? Donc, Art, gentil garçon, pas bien méchant, intelligent, mais voilà tout. Pas quelqu'un de très talentueux par nature, par quelqu’un d’extrêmement intéressant. Juste Art, quoi. Art envieux, envieux à mourir, Art jamais satisfait, Art qui ne croit pas en lui, Art qui ne fait rien pour lui-même, Art qui se soucie des regards, Art qui a déjà, malgré toutes ses bonnes intentions, agi comme un connard, un rabat-joie, Art borné jusqu'à la mort ( l'expression est peut-être mal choisie ? ), Art qui pense que la fin justifie les moyens, mais surtout Art qui tient parole, Art qui se crève à la tâche, même quand il n'y a pas besoin d'en faire autant. Art qui en fait tout simplement trop, Art qui s'inquiète, Art en solitaire qui se renie, Art qui ne parle pas beaucoup de lui. Art et ses fermes paroles, qui se prend parfois pour le père de ses potes ( alors qu'il peut tout aussi bien se comporter comme un grand gamin) ou Art et ses belles paroles, qui donnent vie à son insoupçonné charisme. Art qui aime quand tout est " en ordre ", Art qui essaye de se mettre à la place de l'autre, mais qui se vautre. Eh bien, ça arrive à tout le monde. Art qui calcule, qui pense trop, Art qui ne choisit jamais le chemin le plus facile, mais qui arrive à ses buts. Art qui sait s'adapter, qui sait se montrer opportuniste. Art qui s'la joue parfois trop sérieux que pour ne pas être emmerdant. Art qui sait fermer sa gueule la plupart du temps. Art qui préfère éviter les conflits, parfois à en devenir hypocrite. Art, toujours occupé sous prétexte qu'il n'aime pas s'ennuyer. Art, qui sait tout de même s'amuser, parfois. Bon, pas souvent. Art heureux qui sourit doucement où Art en colère avec son ton tranchant, et encore, il en faut. Art qui devrait franchement faire plus attention à lui, Art qui n'a pas toujours l'air de tenir à sa vie. Art, le sportif. Art avec un goût amer sur la langue, malgré les morceaux de sucre dans son thé ou son café. Art ... Responsable ? Pas toujours ? Pfff. Ce n'est pas terrible. Bon, résumons. Art, vingt-et-un ans mais plus pour longtemps, jeune homme suffisamment travailleur, calme, intelligent et responsable que pour avoir décroché à si jeune âge un poste important ou, au préalable, d'avoir été diplômé de la Facultas sans avoir, à l'époque, montré le moindre signe d'un au minimum. En gros, Art qui est finalement assez impressionnant, mais pas à ses propres yeux. Ai-je faux ?
EXTÉRIEUR
178 CM ( hey, arrête de tricher, on sait que tu portes des talonnettes ! ) ▲ 57 KG ▲ cheveux blancs ? NON, COULEUR LILA ▲ YEUX VIOLETS ▲ TEINT ASSEZ PÂLE ▲ serait-ce UNE ODEUR DE CAFÉ AU SUCRE ? ▲ affiche UN GRAIN DE BEAUTÉ SOUS L'OEIL GAUCHE
Art, physiquement, c'est bien simple, ma p'tite dame ! Déjà, c'est sa silhouette pas bien épaisse malgré sa musculature, ou plutôt, la musculature qu'il a réussi à développer sur une silhouette élancée, si vous préférez. En tout cas, on n'en devine pas grand-chose sous ses vêtements sombres – mais toujours classes ! - c'est qu'il a l'apparence d'un mec bien et propre sur lui, ce jeune homme. On lui ferait facilement confiance ( la plupart du temps à juste titre ). Bon, pour le reste, c'est son visage tout en finesse, de ses sourcils à son menton en passant par son nez et ses lèvres, le tout encadré par des cheveux courts / mi-longs naturellement clairs qui le qualifient. Un ensemble plutôt harmonieux avec la voix douce et calme qu'est la sienne. Donc, avec tout ça, certes, il y a plus beau, plus impressionnant, plus excentrique qu'Art, mais il est loin d'être de l'acide pour les yeux.
DERRIÈRE
D'aussi loin qu'il ne se souvienne, Art n'a jamais été un enfant très ... Comment dire ? Dissipé. A vrai dire, oui, il était comme tous les autres enfants, il aimait sans aucun doute jouer et courir un peu partout, mais lui a toujours été un peu plus calme que la moyenne ; pas le plus entouré ou le plus énergique, ni même celui dont la santé s'avérait la plus solide. Il était déjà néanmoins un grand frère relativement protecteur ou un ami auprès duquel on aime passer du temps. Oui, je dis "' grand frère '" parce que, en fait, Art, il n'a été fils unique que de 1993 à 1997. Donc, vous l'avez bien compris, ce jeune homme né sous le signe du poisson est le premier né d'une fratrie de deux et ainsi le frère aîné d'un adorable garçon répondant au doux nom de Skill. Non, à cette façon de dire les choses, c'est certain, cela semble exagéré, mais tout de même, quelle chance pour Art d'être tombé sur Skill ! Déjà, en vue du caractère du grand, l'ironie du sort aurait très bien pu avoir le mauvais goût de faire de la petite une vraie furie, mais on en est là encore bien loin. Et puis ... Quatre ans de différence, ce n'est pas la mort. Rien qui n'empêche de tisser, en plus des liens de sang, une certaine amitié. En fait, si Art a toujours été proche de son jeune frère et, de ce fait, des amis de ce dernier qu'il côtoyait beaucoup, c'est aussi surtout qu'il est très tôt devenu " sa seule famille ". Ce titre assez triste c'est encore davantage concrétisé lorsqu'ils se sont tous les deux retrouvés à la Facultas. Parce que c'est bien au moment où le duo commença à vivre dans cette école très spéciale que les choses intéressantes ont commencées.
La Facultas, parlons-en. Les pires et les meilleurs années d'une vie. Vous me direz, comme le concerner a passé une énorme portion de cette dite vie là-bas, ça n'a rien d'étonnant. Art y a même rencontré son meilleur ami, logique. Nice. C'est son nom. Il pourrait bien le porter, il suppose. Mais quand même, quel garçon épatant ! Et il ne s'agit pas d'un qualificatif uniquement valable pour sa personnalité, non : son minimum l'est également. Minimum du son. Ça n'a pas l'air pas l'air si fabuleux dit comme ça, et pourtant, c'est qu'il l'a pas volé son titre de petit prodige ! Et vous savez quoi ? Le voir courir si vite, développer des aptitudes si extraordinaires, être si bien dans on minimum, au fond, c'est ... Rageant. Juste insupportablement rageant, peut importe combien on veut être heureux pour lui. Surtout lorsqu'on s'avère ne pas montrer le sien. Se demandant s'ils ne se sont pas trompé lorsqu'ils ont des traces de Minimum dans ses veines, Art travaille d'arrache-pied pour tenter de mériter sa place et espère d'une force malsaine être un jour, lui aussi, une personne extraordinaire, tout comme Nice. Voir plus que Nice. Ahah. Ça serait inespéré. Pourtant les années passent et rien de change. Chaque anniversaire sonne comme une diminution des chances de révéler un jour un tel potentiel et encre un peu plus en ce jeune homme une peur étrange ; celle de devenir insignifiant, inutile à la vie de son frère ou de son meilleur ami.
Mais le plus difficile restait à venir et, ça, on l'a su quand l'année 2009 a pointé le bout de son nez. Art s'acharne alors toujours dans un travail épatant pour son jeune âge, il n'a rien laissé tomber. Si je me souviens bien, c'est à ce moment-là qu'une certaine addiction pour le café lui vient, à force de nuits écourtées par des études de zèle. Un jour, Nice vient le chercher, animé par un enjouement étrange : il parait qu'on a découvert la manifestation concrète d'un Minimum chez Skill. Ni plus, ni moins qu'un Minimum ! Vous sentez la merde venir ? Pardon, c'est juste que, vous vous en doutez, Art, à ce moment-là, il ne le prend pas super bien. C'est que ... Il doit rester un grand frère digne et tout ça, vous voyez ? Mais ce n'est pas hyper facile quand tu as l'impression qu'on t'a planté un grand couteau directement dans le cœur. Un sentiment de trahison injustifié à l'égare de son frère qui, plus jeune, est pourtant visiblement quelqu'un de plus talentueux et intéressant que lui. Cette sensation, Art s'en souviendra toujours. Et les choses vont encore se compliquer, parce que cette épreuve là, apparemment, c'est encore trop facile à surmonte : pour étudier de trop, le grand frère connaît par cœur la procédure et sait que Skill et lui vont être séparés un moment, mais le retour de celui-ci commence à se faire un peu attendre, il s’interroge. Ce n'est pas facile de ne plus le voir, même s'il redoute au fond de lui-même le moment de la confrontation. Il faudra alors qu'il se contienne, qu'il contienne cette jalousie brûlante qui lui grignote lentement les neurones, alors qu'il ne sait même pas encore de quel Minimum son frère a hérité. C'est par une sorte de hasard glauque, d'ailleurs, qu'il va retrouver ce dernier dans affreux état, un peu plus tard. Ne traînons pas trop sur cette page de sa vie, je commence à me sentir mal pour lui ... Pour aller au plus simple, Art est plus déterminé que jamais dans ses études sur les Minimums, voulant absolument en avoir un – oui, bon, ça, vous l'aviez compris – mais les informations les plus intéressantes restaient hors d'atteinte pour un élève comme lui. En gros, elles sont classées et secrètes à qui ne fait pas directement partie des équipes très sérieuses de recherche qui les concernent. Têtu comme il est - et demeurera toujours - notre intéressé ne se laisse pas abattre par quelques interdits et contourne discrètement le règlement pour les atteindre. Ces informations le mènent directement à l'endroit où son frère se trouve. S'ensuivit donc LA sinistre découverte : imaginez-vous en face d'une sorte de fusion entre votre cadet par franchement entier bien qu'encore en vie est une machine super flippante supposée, euh, " extraire " d'une manière qui n'a pas l'air d'être des moins douloureuse son Minimum. Oui, ça fiche un coup, quand même. D'autant plus quand le frangin en question vous supplie, de sa petite voix si familière, si faible, si désespérée, sa voix d'être supérieur à vous, de mettre fin à ses jours. Ce soir-là, Art a tué son frère. Peut-être qu'on peut appeler ça '' de la chance '', mais ce fratricide a causé un certain choc, et je parle bien là de choc physique, puisqu'Art en a été gravement blessé. Son cerveau touché ne lui a pas permis de se souvenir de quoi que ce soit lorsqu'il s'est réveillé dans une chambre blanche. On lui dit simplement que son frère était mort suite à un accident causé lors des expériences visant à cibler son Minimum. C'était mieux comme ça. Comme il était sans doute mieux qu'il ne se soit pas rendu compte que quelque chose avait changé en lui. Il n'est pas encore prêt de le savoir alors qu'il ne peut que pleurer cette perte, caché sous une bonne quantité de bandages, mais il avait depuis ce jour la capacité qu'il avait toujours voulu avoir : son propre Minimum.
C'est en n'ayant absolument pas du tout manifesté ce dernier qu'il se retrouve diplômé de la Facultas : premier et dernier diplômé à ne pas s'être révélé être un détenteur, je tiens à le souligner. Un exploit qu'il doit à son travail de titan et à son intelligence remarquable. Et c'est à ces même qualités qu'il doit par la suite d'être devenu inspecteur de police à son jeune âge. Comble de l'ironie, c'est ce travaille précisément qui le met sur le chemin de Moral qui, par le passé, avait travaillé à la Facultas, alors qu'il enquête sur une série de meurtres dont les victimes sont toutes des Minimum Holder. Comme on peut s'en douter, c'est là une enquête assez éprouvante, le touchant de plein fouet. Il se sent directement concerné, malgré le fait qu'il reste persuadé ne posséder lui-même aucun Minimum, mais au-delà du lieu de ses précédentes études, c'est surtout Nice qui l'inquiète à en être malade. Après tout, celui qui est resté encore jusque là son meilleur ami est un Détenteur ! D'une manière ou d'une autre, il est en danger, peut importe à quel point il est doué dans son domaine. Et dans tout ça, si Art ferait mieux de s'inquiéter un tant soit peu pour lui-même, mais il ne peut tout simplement pas, et bien, justement parce que '' c'est Art ''. Ce que j'hésiterais presque de qualifier par " ce qui devait arriver " en vue d'une implication excessive dans cette enquête arrive un jour de mauvais temps - quel cliché - au beau milieu du cimetière de Yokohama où repose sous terre le corps Skill. Près de la tombe de ce dernier, Moral tue Art dans le bruit que font plusieurs coups de feux.
Ça aurait pu s'arrêter là, mais cette biographie n'aurait pas lieu d'être. Le jeune homme se réveille, sans trop comprendre, le souffle court. Il est au côté d'une femme nommée Momoka, l'assistante de Moral en personne. Vient-il vraiment de mourir ? C'est impensable et pourtant, il y a bien une façon de l'expliquer : Art est bel et bien doté d'un Minimum, après tout. Le Minimum de Régénération ! Concrètement, ça veut dire que, qu'importe ce qui lui arrivera, il pourra être soigné par le '' simple '' - sentez le sarcasme, ici – fait de se planter quelque chose dans le cœur. Et d'en mourir pour mieux revivre après. Le comprenant, il se remémore avec amertume l'aveu que Moral lui a fait avant de tenter de mettre fin à la vie de l'inspecteur : il est le seul responsable de la mort de son frère. Ce n'est pas une blague, avec sa mort et la renaissance qui l'a suivie, son cerveau endommagé s'est régénéré et les souvenirs de ce soir-là, celui qu'il aurait, au fond, surement préféré oublié, qui lui reviennent le confirme. Inutile de recommencer à pleurer cette perte, Art à fait son deuil. Après tout, il n'y a rien à y faire, Skill est mort et ce depuis longtemps, pas vrai ? ... Pas vrai ?
Aussi affreuse avait été la mort de son frère, il la lui avait demandé de lui-même. De ses propres mots. Avec sa propre voix. Art avait commis ce fratricide pour le libérer ! Et il ... Il avait échoué, ce soir-là ? Son frère n'est pas réellement mort ? Mais ... Comment ça ? Il vie par le biais de Nice ? Ce n'est ... Pas possible. Il a échoué lamentablement à sauver son propre petit frère. Il n'a pas pu réellement le tuer lorsqu'il le lui avait demandé, des années plus tôt. Il a été incapable de le délivrer. Son frère doit encore souffrir par sa faute, perdu comme un fantôme au milieu de ce monde ignoble, plein d'orgueil et d'envie, simplement à cause de sa faiblesse. Il ne lui reste donc plus qu'une option pour tenir sa parole : tuer son meilleur ami. Est-ce réellement une bonne solution ? Non. Mais lui est persuadé que c'est la seule.
C'est ainsi qu'il tente de le tuer une première fois, juste après avoir achevé Moral. Par les connaissances de ce dernier, Art trouve également le moyen de voler les Minimums des autres. Avec une capacité telle que la sienne, ce péché ne peut pas lui-être fatal, après tout. Art peut profiter de cette déraisonnable capacité pour arriver à ses fins, prenant une vengeance contre la Facultas, rejoignant les Freemum malgré un certain dégoût à l'encontre de leurs idéaux, se retrouvant même responsable de la mort de Gasuke, un ancien collègue et ami. Situation assez éprouvante, on ne va pas se le cacher. Mais bon, l'ancien inspecteur l'a voulu. Il est prêt à tout ses sacrifices. Malheureusement, si son plan s'est passé comme prévu dans l'ensemble, malgré des pertes douloureuse, l'issues n'est pas tout à fait comme il l'avait imaginé. Et tout ça pour quoi, finalement ? Pas grand chose.
PSEUDO ET/OU PRÉNOM ▲ C'est Zerroh ou Ideal selon vos envies, ce sont mes deux noms de plume ( et de cosplayer, accessoirement ). " Kami-Sama " est aussi une appellation valable. Comment ça, c'est plus drôle ? Bon « Notre Sauveur », ça me va aussi, mais c'est bien parce que c'est vous. ÂGE ▲ Vingt-et-un ans. ( Si, je vous assure, depuis le mois d'Août ! Oui, je sais, avec ma tronche de shota et ma taille de nain, j'ai du mal à m'y faire, moi aussi. ) GENRE ▲ Avec moi, on emploi le masculin, darling ! ♥ COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM? ▲ Du bouche à oreille, ni plus ni moins. COMMENT TU LE TROUVES? ▲ H-hey, ne me demandez pas d'être objectif alors que ce n'est que le début de ce beau forum, OK ? Hum ... De toute façon, on ne peut pas vraiment dire du mal d'un forum Hamatora, n'est-ce pas ? Le contexte me plaît beaucoup, pour commencer. Les admin', de ce que j'en sais, on l'air chouette. Par contre, la couleur des liens qui est identique à la couleur de fond d'un message, ça craint. Mais, à côté de ça, c'est évident que je ne vais pas dire « Top, il n'y a rien à changer ! ». J'veux dire, ce serait de la mauvaise foie, pas vrai ? DOUBLE COMPTE? ▲ Nope. Mais j'ai déjà des idées. Trop d'idées. AVATAR/FACECLAIM ▲ Art d'Hamatora. ( Nooon, vraiment ? Mais il me revient de droit, mwouahahaha ~ ) AUTRE? ▲ Oh bon sang, désolé pour cette absence ! Mais je suis là, maintenant, j'ai enfin de la connexion ! >w< ( Comment ça, ça ne change rien à vos vies ? ) Bref, cette biographie est m*rdique, je vous présente mes plus plates excuses pour ça : Z'avez du passer un très mauvais moment à lire ça, j'veux dire, quand bien même j'essayais de rester fidèle à Art, au final, j'ai juste ... Foiré ? C'est pas facile, et c'est pas comme si les informations étaient nombreuses. ( Pfff, comment tu te justifie, Idé' ~ ) En plus j'ai un gros problème ! J'm'explique : j'ai arrêté ma bio' un peu plus tôt que prévu pour la raison suivante : Il y a deux hypothèse à son sujet, la première étant que ce gentil monsieur à fait de la prison durant les six mois constituant l'élipse à la fin de Re : Hamatora et la seconde étant qu'il était, durant ces six mois, Dieu ne sait où et qu'il ne va faire de la prison pour ce qu'il a fait ( tuer des gens, c'est mal, apparemment ) qu'ensuite. Sauf que je ne trouve pas la première idée logique et que la seconde nuirait un peu à mes RP. Euh. Voilà. Je tenais à remettre à plat ce doute et espéré comme un peuvre idiot dépendant que je suis qu'on m'donne ordre de suivre une voie plutôt que l'autre.
ID Minimum: flexible minimum Occupation: enquêteur Relations:
Sujet: Re: Making the world a better place • Art アート | Complète ? - 100% | Mer 12 Nov - 14:20
oui j'ai pris mon temps mais je pensais que comme ça koyen validerai à ma place --- /mérite de mourir déjà welcome to my womb -- okay c'est pas le bon forum donc euh BIENVENUE OUAIS JE T'AIME ET TOUT je te coeur alors euuh déjà " Art qui a déjà, malgré toutes ses bonnes intentions, agi comme un connard, un rabat-joie, Art borné jusqu'à la mort ( l'expression est peut-être mal choisie ? )" ça m'a fait très rire et c'est important de le préciser (c'est toujours important quand c'est moi) sinon c'est cool le mental (=w=)b bon y'a quelques petites fautes par ci par là, d'accords d'orthographes (voire et pas voir, -é et pas -er, travail et pas travaille etc etc) quelques oublis de mots et de lettres mais jdis rien je fais pareil o/" surtout que ça reste compréhensible donc c'est cool (enfin non) faut se relire quand même j'essaie d'être constructif comme koyen et euh la conclusion est cool même si t'aurais pu préciser qu'il a tué nice mais que skill l'a fait revivre et qu'après il a voulu se tuer et qu'il est tjrs vivant (on sait pourquoi d'ailleurs) enfin voilà jte valide bisous sur toi tu vas pouvoir rp avec des gentils gens (ou pas d'ailleurs), tu peux aller faire ta rs et tout ça tout ça omedetoooo
au fait, un message du naze (koyen):
Citation :
[07:37:32] Shunsuke Taiyou : pour le pseudo de Art [07:37:35] Shunsuke Taiyou : j'avais envie de dire [07:37:45] Shunsuke Taiyou : "Zerroh tracas, Zerroh blabla, Hamatora"
Making the world a better place • Art アート | Complète ? - 100% |