Hamatora
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 orage d'été.

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AuteurMessage
Summer

Summer


Messages : 15
Date d'inscription : 29/09/2014
Age : 31
Localisation : son trou préféré.

ID
Minimum: flexible minimum
Occupation: enquêteur
Relations:

orage d'été.  Empty
MessageSujet: orage d'été.    orage d'été.  Icon_minitimeJeu 2 Oct - 18:13



prénom ▲ summer
âge ▲ 21 ans
date & lieu de naissance ▲ 30 août à yokohama
sexe/genre ▲ mâle
orientation sexuelle ▲ aromantique  hétérosexuel
statut ▲ amoureux de lui-même
occupation ▲ enquêteur
groupe ▲ karasu
cv ▲ tetsuya kakihara

flexible minimum ▲ SUMMER PEUT MODIFIER LA FORME DE MATIÈRES QU'IL TOUCHE APRÈS AVOIR FAIT ECLATER LA BULLE QU'IL A FAIT AVEC SON CHEWING GUM. AINSI, IL PEUT TRANSFORMER UN BOUT DE MÉTAL EN ÉPÉE ET DU TISSU EN VÊTEMENT ETC.
INTÉRIEUR

Tu passes complètement inaperçu, et c'est bien ce que tu veux. Il faut dire que types aux cheveux noirs, au Japon, y'en a des tonnes et des tonnes. Et c'est bien pratique, malgré ta taille ridiculement grande pour un japonais, tu arrives à t'infiltrer là où tu veux pour récupérer toute sorte d'information — parce que c'est un peu la seule occupation que t'as. Depuis que t'es gamin, t'es réputé pour être quelqu'un de curieux et ton intelligence combinée t'as rendu perspicace et malin. Quelque chose qui ressort que peu souvent, une flemme t'empêchant de faire ressortir le peu de talent que tu possèdes. Talent que tu dis inexistant d'ailleurs, t'as pas une bonne estime de toi et ce, malgré les innombrables compliments qu'on t'a fait autrefois à l'Académie. Mais t'as appris à te méfier d'un peu tout, t'as l'impression que le monde est rempli d'hypocrites. Trop de compliments tue le compliment que tu dis, et c'est pour ça que tu te contenteras du strict minimum lorsque tu ressentirais l'envie de partager la certaine aisance que tu peux ressentir avec quelqu'un d'autre (autre que Never). Ouais, t'es ce qu'on appelle un kuudere mais en moins cool — on va pas se mentir, même si t'es intelligent et tout le tralala, t'es vraiment pas doué, ta spécialité c'est de foirer ce que t'entreprends et rare sont les fois où quelque chose ressemblera à ce que t'avais comme idée dans la tête. Ton sérieux ne te rend pas plus doué, aussi triste que cela peut être. Mais tu nies tout en mentant sur le fait que tout ça était complètement volontaire.

Parce que t'es un sacré menteur, Summer. Un de ces horribles monstres qui mentent, mentent, jusqu'à ce que ça leur monte à la tête et qu'ils ne savent même plus quand est-ce qu'ils disent la vérité. Tu mens tout le temps, c'est compulsif, c'est pour te « protéger » que tu dis. Il faut dire aussi, en tant qu'enquêteur, il faut bien que tu mentes sur ton nom pour ne pas laisser de traces. Le seul type qui sait quand tu ne mens pas, c'est probablement ton meilleur (et seul) ami, Never. Il faut dire que ça fait plus de dix ans que vous êtes ensembles, et vous arrivez à vous deviner facilement. Tes mensonges ne sont de toute façon pas si terribles que ça — la plupart du temps ce n'est que quelque chose à propos de toi aux autres, même s'il t'arrive de mentir sur ce que tu faisais à Never. Ça passe crème, les petits mensonges comme cela. Quand il s'agit d'amasser des informations, t'as tendance à sortir plus gros. Ah ouais, t'as tendance à faire tout et n'importe quoi juste pour un peu d'argent, à cause du manque évident d'argent de tes anciens parents, t'es un peu avide, t'as peur de finir comme eux, à se taper dessus pour une histoire de centimes manquants.

Et toute cette histoire de femme battue, ça t'a rendu assez instable mentalement. Disons que même si tu gardes une façade calme à l'extérieur, intérieurement, t'exploses un peu tout le temps. Comment dire. T'as tous les défauts du monde? En plus d'être manipulateur et possessif, t'es violent, sadique, arrogant (mais vraiment), moqueur, et un peu tout ce qui va avec. Un peu le grand méchant dans les mangas un minimum sérieux, ces types traumatisés qui font un peu n'importe quoi sans s'en rendre compte. Sauf qu'à la fin, tu redeviens pas gentil. Impossible de te rendre gentil, tu trouves cela complètement répugnant et inutile ; tu préfères agir logiquement et la gentillesse ne fait pas partie de ce qui va de paire avec la logique dans ta tête, t'es trop méfiant pour ça. T'es complètement différent de Never, qui lui préfère utiliser la gentillesse pour manipuler les gens. Toi, tu préfères pressurer les gens. T'es froid et méchant au premier abord; tu seras froid et méchant quand ta victime agonisera devant toi.

Sans transition, c'est important de préciser que t'es perfectionniste et complètement stressé par ce trait. Parce que tu n'arrives jamais à faire ce que tu fais, t'as tendance à tout balancer par la fenêtre au bout d'un moment. En plus de ça, t'es atteint d'OCD, le moindre défaut te fait péter une crise et tu deviens complètement incontrôlable. Ça fait beaucoup de défaut pour une seule personne quand même. Heureusement que pour ça, t'as tes chewing gum, seuls armes face à ce monde cruel. T'as besoin de mâcher quelque chose pour te sentir bien. Que ce soit un chewing-gum, un stylo, ton téléphone, tes écouteurs, tu mords tout ce que tu peux mordre quitte à détruire ton équipement, il faut juste t'empêcher de te faire perdre ton sang froid. Parce que c'est dur de te faire perdre la face, mais quand on le fait, c'est violent. Très violent.
EXTÉRIEUR

180CM ▲ 68KG ▲ NOIR ▲ ROUGE (en fait surtout une sorte de noisette qui part sur du rouge) ▲ PÂLE ▲ IL SENT LA FRAISE ▲ IL A AUCUN SIGNE PARTICULIER ET C'EST VOULU ▲ IL PORTE UN UNIFORME SCOLAIRE POUR MIEUX PASSER DANS CERTAINS ENDROITS 
DERRIÈRE

Un. Deux. Trois. Un. Deux. Trois. Toujours ce même rythme quand papa frappe maman. Papa frappe maman, mais papa aime maman. Alors frapper, c'est aimer? Silencieusement, tu observes papa prouver son amour à maman.

Tu n'as pas lieu d'être, papa te l'a déjà répété. T'es le résultat d'une soirée arrosée entre étudiants, papa et maman sortaient ensemble à cette époque. Maman t'a dit que papa a toujours été violent, qu'il frappait toujours tout le monde. Mais ça s'est empiré quand t'es arrivé. Dans ta tête c'était tout bizarre, papa est vulgaire mais affectueux, il insulte tout le monde en leur transmettant son amour. Il est illogique, tellement illogique! Mais pas tout le monde sait s'exprimer correctement, et même s'il fait souffrir maman, même si maman souffre à cause de toi, elle t'aime quand même. Elle te le dit mais ne le prouve pas, mais tu ne dis rien. Ça dure longtemps comme ça, jusqu'à ce que tu aies dix ans en fait. À cet âgé là, c'est trop tard pour te sauver, t'étais déjà devenu aussi violent que ton père, sous prétexte que t'aimais tout le monde. On te prenait pour un fou, à sourire alors que tu frappais. Et t'as jamais compris. Même à vingt-et-un, t'es toujours légèrement confus.

Puis un beau jour d'hiver, tu vois ta mère par terre après être rentré de cours. Au début, tu penses qu'elle dort. Drôle de façon de dormir! Tu la secoues, rien. Tu lui donnes des petites claques, toujours rien. Bientôt, c'est des coups de pied que tu lui donnes, énervé par le manque de réaction de sa part. Puis tu réalises. T'as dix ans, t'es plus aussi stupide. Maman s'est endormie pour toujours, elle est morte ivre de l'amour de papa. C'était poétique, tu trouvais ça tellement beau comme façon de mourir! Tu la sers dans tes bras, fermant ses yeux secs et montrant toujours une lueur terrorisée en voyant papa. Papa se fiche de le dire aux docteurs, il dit que s'il le fait, il va se faire arrêter. C'est vrai, on t'a dit que tuer des gens est interdit par la loi. Alors le cadavre de maman reste plusieurs jours ici, jusqu'à ce qu'on remarque l'absence de maman au travail. Tu voulais t'en débarrasser, de ce poids mort dans le salon, ça empeste et prend de la place inutilement, votre trou est déjà assez pourri comme ça. Alors quand les policiers viennent chez toi, tu leur montres du doigt le corps déjà un peu décomposé à cause de l'humidité.

Évidemment, ils enlèvent papa loin de toi. « Dans un lieu où il ne pourra plus frapper personne ». Pourquoi il n'a pas le droit? C'est interdit de montrer son amour? Alors c'est interdit d'embrasser les gens aussi? On t'amène dans un foyer, quelque chose où sont réunis les enfants sans parents. À ta grande surprise, vous êtes beaucoup. Beaucoup mais personne ne te comprend. Personne ne pense que frapper, c'est aimer. C'est faux? Non non, tu vas leur faire comprendre, ta vision du monde n'est pas erronée, si? Pas à ce point là? Tu raisonnes illogiquement et continue à frapper même si on te l'interdit. Alors évidemment, c'est chez le psychologue que tu finis. Il te demande pourquoi tu frappes. Tu dis que t'aimes tout le monde ici, comme ton père t'aimait toi et maman. Il se rend compte, combien t'es taré. Il te dit qu'en vrai, c'est quand on déteste quelqu'un. Quand on ne l'aime pas, quand on trouve qu'il n'a pas fait ce qu'il fallait faire. Et ton monde s'écroule. Non non non non non. C'est pas vrai, papa aime maman! C'est le principe du papa et de la maman! Tu fais semblant d'y croire mais en vrai, tu le déteste, ce psychologue. Tu ne sais pas ce que tu aimerais lui faire mais tu veux le faire souffrir. Malgré cela, tu restes deux ans dans le silence, frappant et menaçant tes victimes.

Puis un jour, un autre enfant arrive au foyer. C'est plutôt rare alors tout le monde se précipite sur lui, le harcèle de question pendant que toi, tu te contentes de l'observer de loin. Il fait le social et compagnie mais tu le vois bien, que ce type est aussi peu recommandable que toi. C'est tellement facile de deviner que c'est lui la source des rumeurs ; ça serait une sacre coïncidence que ça ne soit pas lui alors que ces choses sont apparues quelques jours — voire le jour même que son arrivée. Il faut même être stupide pour ne pas le remarquer. Tu hausses les épaules au début, mais au bout de la deuxième semaine, excédé par les conneries de Never (il s'appelle ainsi), tu décides de lui dire que tu était au courant pour ses cachoteries et que tu n'hésiterais pas à le balancer si c'était aussi ennuyeux. Le temps passe et sans que tu t'en rendes compte, bientôt, c'est quelque chose d'indénouable qui se forme entre vous deux. C'est spécial, pour toi, Never est cette personne qu'on ne rencontre qu'une fois dans sa vie, cette personne à qui tu es lié par le fil rouge du destin. Tu ne sais même pas ce qui t'attire chez lui — tu n'es même pas « attiré » par lui, il est juste moins niais que les autres alors du coup tu restes avec lui. Vous êtes un peu le duo des tarés, lui ayant le rôle du sadique et toi du manipulateur. C'est étrange comme relation, personne n'arrive à la décrire. Vous avez beaucoup de choses en communs, en plus. Vos deux pères frappent, vos deux mères sont parties. Vos deux pères sont « là où ils ne pourront plus frapper qui que soit », vos deux mères dorment pour toujours. Même si tout le monde ici à perdu ses parents, vous deux, vous êtes les seuls à partager cette particularité. Votre père est vivant, mais pas autorisé à rester. Pas assez humain pour ça.

La veille de Noël et le jour d'anniversaire de Never fut très spécial pour vous deux. Il venait d'avoir douze ans et toi, plus âgé de deux ans, avait donc quatorze ans et demi. Comme d'habitude, tu n'arrivais pas à dormir pour une raison quelque peu compliquée. Le manque d'envie de fermer les yeux, le manque de compagnie dans ta chambre. Never n'est pas là, tu ne sais pas pourquoi et tu ne cherches pas à savoir pourquoi. Dans ces soirées là, tu repenses à combien cette fête te semble absurde. C'est la naissance de Jésus, non? Jamais, jamais tu n'avais fêté cette naissance avec ton père et ta mère. Tu n'avais ni fêté ta naissance ni celle de ton père ou ta mère d'ailleurs, ça coûte trop cher. Tu soupires, serrant les poings et t'efforçant de trouver le sommeil. Cet abruti devait échanger ses cadeaux contre du sucre. Tu fermes les yeux après avoir allumé ton MP3, pour être immédiatement dérangé par une odeur de brûlé accompagné par des bruits de pas sourds et affolés. Never. Il avait vraiment fait une connerie, cette fois-ci. Cet idiot a foutu le feu au sapin... Tu suis nonchalamment ton ami, mettant ton lecteur MP3 en veille pour entendre des cris plus ou moins perçant. C'était poétique, tu trouvais ça lyrique, charmant, envoûtant presque. T'aurais pu rester planté au beau milieu du feu si ton meilleur ami ne t'accompagnait pas. Vous avez observé la scène du dehors, avec un calme un peu malsain. Toi, tu te retenais douloureusement de rire. Tu souriais en voyant les silhouettes se faire dévorer par les flammes. Quand les pompiers arrivent, la plupart sont déjà morts. Ah, t'es pas si sain d'esprit que tu le pensais.

Plutôt que d'être récupéré par une autre orphelinat du coin, c'est une académie dont tu n'as jamais entendu parler qui vous oblige venir; Facultas. Un nom bien étrange en soi, et tu ne tardes pas à découvrir que le contenu est tout aussi étrange et surréaliste. Soit disant que Never et toi avez un potentiel, que vous pouviez développer ce qui ressemble à des pouvoirs dignes de manga ou de jeu vidéo. Au début, tu crois à une mauvaise blague, à une énigme pour tester tes capacités de réflexion. Mais vous n'êtes pas les seuls gosses, vous êtes de milliers là dedans. Un rêve? T'es dans le coma? Non — le simple fait d'envisager cette possibilité rend la chose impossible. Tu te laisses faire, avec ces trucs te collant la peau et ces tests sans aucuns sens. Ça dure, ça dure, et tu endures juste parce que tu sais pas quoi faire sinon. C'est bien beau de se rebeller mais tu préfères planifier avant, histoire de pas te retrouver comme un abruti paumé avec ton meilleur ami qui peut te lâcher à tout moment. Tu subis un an, deux ans. Puis ils te le trouvent. Ton pouvoir. Ton Minimum. Bizarre comme nom. Le Flexible Minimum; il te permet de modifier la forme de matière à ta guise. T'as du mal à trouver l'intérêt de la chose au début, c'est pas si incroyable que ça de toute façon. Et puis c'est pas logique. Comment diable est-ce que toutes ces molécules apparaissaient? Elles sortent de nulles part et ça stresse ton esprit, bien trop rationnel pour ces conneries.

Tu passes du temps à le contrôler, et c'est au tour de Never de développer son Minimum. Il peut détruire des objets. Ton opposé total. Si toi tu peux allonger et modifier une forme, lui pouvait la détruire et la faire disparaître à tout jamais. Vous étiez un peu comme le yin et le yang, t'as du mal à comprendre mais tu te contentes de ça. Vous restez à l'académie jusqu'à tes dix-huit ans et ses seize ans où vous décidez de prendre votre indépendance. Vous n'avez rien de plus à apprendre de toute façon, tu n'as pas envie de te faire laver le cerveau par leur conneries. Et ça fait trois ans maintenant, que vous vivez de la manière la moins stable. Tu te déclares enquêteur, tu rends service aux gens mais en vérité, c'est surtout tueur à gage que vous faites. Détective consultant, comme Sherlock Holmes, vous ne prenez que ce qui vous intéresse. Dans un trou, qui plus est. Vous dépensez dans sucreries et chewing gum, priant pour qu'il vous reste encore un peu d'argent pour ce qui passe en second; la nourriture et le confort.

PSEUDO ET/OU PRÉNOM ▲ eliss
ÂGE ▲ 14 ans
GENRE ▲ neutre
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM? ▲ très bonne question
COMMENT TU LE TROUVES? ▲ super swag, jme demande qui l'a fait.....
DOUBLE COMPTE? ▲ dieu
AVATAR/FACECLAIM ▲  inaho kaizuka - aldnoah.zero
AUTRE? ▲ seylum-san
base © redSheep
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orage d'été.

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